Chaînes de valeur africainesLes chaines de valeur africaines. Les opportunités pour les entreprises africaines
Les objectifs de l’UE « les chaînes de valeur africaines » sont :
Les chaines de valeur africaines L’UE « Les chaines de valeur africaines » fait partie des programmes FOAD proposés par l’EENI Global Business School : Cours : Intégration régionale en Afrique, Transport en Afrique. Masters : affaires en Afrique, transport en Afrique, affaires internationales, commerce international. Doctorat : affaires africains, logistique mondiale, commerce mondial. Langues : L’intégration régionale de l’Afrique devrait faciliter les chaines de valeur africaines, tant pour le marché régional comme pour le marché mondial. (Les chaines de valeur africaines). Les investissements commerciaux régionaux et transfrontaliers sont le facteur clé pour le développement des chaines de valeur en Afrique. Le rôle des communautés économiques régionales est essentiel, par exemple, pour réduire les obstacles techniques au commerce non tarifaires (règles d’origine) en Afrique. En certains pays africains (l’Afrique du Sud, l’Égypte, le Maroc, l’Éthiopie, le Kenya ou la Tunisie) les entreprises ont amélioré leur valeur ajoutée dans plusieurs secteurs. Les communautés économiques régionales (CER) travaillent sur les programmes de facilitation du commerce intra-africain, mais le coût des échanges en Afrique n’est pas compétitif souvent. Par exemple : La Banque africaine de développement estime que le coût de transporter un conteneur de Durban (Afrique du Sud) vers Lusaka (Zambie) - 1,633 kilomètres / 1,015 miles- est de 8 000 dollars et 1 800 de Durban au Japon ! ! !. Il existe de bons exemples de l’amélioration des chaines de valeur africaines, par exemple, la chaine de valeur du cacao en Afrique de l’Ouest (principalement au Ghana et en Côte d’Ivoire, les plus grands exportateurs de cacao du monde), a augmenté de 12 % (2000) à 18,6 % (2013), à travers des programmes de libéralisation et d’incitation (zones franches économiques), en attirant les investisseurs étrangers.
Selon la Banque africaine de développement, le poste frontalier à guichet unique peut aider à réduire les délais de dédouanement (procédures douanières) aux frontières africaines. Par exemple, à la frontière entre l’Ouganda et le Kenya (Malaba), le temps du passage de la frontière a été réduit de vingt-quatre heures (2011) à quatre heures (2012). Portail affaires africains de l’EENI. Le transport ferroviaire en Afrique. (c) EENI Global Business School 1995-2023 |