TIC, commerce et intégration en AfriqueProgramme de l’unité d’enseignement (UE) : les technologies de l’information et de la communication (TIC) en Afrique.
(* Seulement en anglais). Les objectifs de l’UE « TIC - Commerce et l’intégration régionale en Afrique » sont les suivants :
Exemple : L’UE « TIC - Commerce et l’intégration régionale en Afrique » fait partie des programmes FOAD Online proposés par l’EENI Global Business School (École d’Affaires) : Cours : Intégration régionale en Afrique, Transport en Afrique. Masters (MIB) : affaires en Afrique, transport en Afrique, affaires internationales, commerce international. Doctorat (DIB) : affaires africains, logistique mondiale, commerce mondial. Cours recommandé pour tous les étudiants africains francophones : l’Algérie, le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, le Cameroun, la République centrafricaine, les Comores, la République démocratique du Congo, la République du Congo, la Côte d’Ivoire, Djibouti, le Gabon, la Guinée, Madagascar, le Mali, Maurice, la Mauritanie, le Niger, le Rwanda, le Sénégal, les Seychelles, le Tchad, le Togo et la Tunisie. Les documents d’étude en Description (Les technologies de l’information et de la communication, le commerce et l’intégration régionale en Afrique). L’utilisation intensive des technologies de l’information et de la communication (TIC) peut réduire les couts d’exportation et logistiques du commerce intra-africain, en particulier pour les pays en développement enclavés d’Afrique et peut aussi réduire la corruption. Toutes les parties qui participent à la chaine de valeur de l’Afrique (gouvernements, agences, importateurs, exportateurs, agences des douanes, les entreprises de logistique, banques...) peuvent se profiter des avantages des TIC appliqués au commerce intra-africain.
Au Nigeria, nous pouvons observer un boom du commerce électronique. Plusieurs sites de vente en ligne nigérians (DealDey, Konga, Jumia) mènent des initiatives d’e-commerce en Afrique de l’Ouest. Les ventes de l’e-commerce sont doublées l’année dernière (environ 382 millions de dollars), générant plus de 6 millions d’emplois. Selon AT Kearney, en Afrique au Sud du Sahara, il y avait 650 millions d’utilisateurs mobiles (2011), la soi-disant « révolution mobile de l’Afrique ». La Banque africaine de développement estime que les technologies de l’information et de la communication (TIC) contribuent pour environ 7 % du produit intérieur brut africain. La CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest), la SADC (Communauté de développement d’Afrique australe) et l’EAC (Communauté est-africaine) développent d’importants projets de TIC liés au commerce intrarégional. Exemple : Portail affaires africains de l’EENI. (c) EENI Global Business School (École d’Affaires) 1995-2022 |