L’Angola appartient à l’espace économique d’Afrique centrale de la civilisation africaine.
L’économie angolaise :
L’Angola connait un taux de croissance impressionnant (23,4 %) et une politique de reconstruction du pays détruit par
vingt-sept ans de guerre civile est menée depuis la fin de la guerre en 2002 (+ 66 % du secteur du BTP) ;
L’Angola est le marché le plus important en Afrique centrale ;
L’économie de l’Angola (Afrique) dépend du secteur pétrolier (1 %
de la population active de l’Angola est employée dans ce secteur) ;
L’Angola est considérée comme un marché frontalier africain ;
L’une des économies les plus dynamiques au monde ;
La population de l’Angola (20 millions d’habitants) est un élément essentiel de la croissance économique angolaise ;
La croissance du produit intérieur brut réel angolais : 3,4 % ;
L’économie angolaise est essentiellement agricole ;
Les principaux produits agricoles angolais sont le café, la canne à sucre, le sisal, le maïs, l’huile de noix de coco et l’arachide ;
L’Angola est riche en minéraux, en particulier les diamants, le pétrole, le fer, etc. ;
Dépôts importants : le cuivre, le plomb, le phosphate, le sel, l’or, l’argent et le platine ;
Les principales industries angolaises sont le pétrole, les céréales, la viande, le coton, le sucre, la bière, le ciment et le bois ;
Le ministère du tourisme a signalé l’entrée de 194 326 touristes en provenance du Portugal, de l’Amérique du Sud, la
France, le Brésil, le Royaume-Uni et les États-Unis, qui dépensé 97 millions de dollars ;
Les ressources naturelles angolais sont le pétrole, le gaz, l’hydroélectricité, les mines, les diamants, l’agriculture ;
Le pétrole : 70 % du budget angolais. Le deuxième producteur africain (après le
Nigeria) ;
La monnaie angolaise : le Kwanza (AOR) ;
Les principaux produits d’exportation sont le pétrole, le bois, les produits de la pêche, le café, etc. ;
Le quatrième producteur mondial de café.
L’Angola est le deuxième producteur de pétrole en Afrique subsaharienne avec 1,5 million de barils par jour (offshore à 70 %).
Le pétrole représente 60 %
du PIB, 90 % des recettes d’exportation et 83 % des recettes de l’État ;
La production devrait atteindre 1,9 millions de barils ;
Les exportations angolaises du pétrole ont quadruplé ;
L’Angola a été admise à l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP)
en décembre 2006 et son quota a été fixé à 1,9M barils/jour ;
Le contrôle de l’industrie pétrolière est exercé par la Sonangol, un conglomérat aux mains du gouvernement angolais.
Outre le pétrole, l’Angola dispose également d’un potentiel économique exceptionnel : les
diamants (cinquième rang mondial avec une production en accroissement constante, 9,4M carats),
hydroélectricité, l’agriculture, halieutique, le gaz.
Les secteurs stratégiques pour le gouvernement angolais :
L’agriculture et l’alimentation ;
L’exploitation minière ;
Les produits de la pêche ;
L’industrie légère ;
Les matériaux industriels pour la construction et les travaux publics.
L’Angola est l’une des premières bénéficiaires des flux des
investissements directs étrangers vers l’Afrique, qui vont quasi exclusivement au secteur pétrolier (90 %).
Les importations angolaises sont d’environ 5 millions de dollars.
Les principales importations sont :
Les machines et le matériel électrique ;
L’automobile et pièces ;
Les médicaments ;
La nourriture ;
Les textiles ;
La canne à sucre ;
Le café ;
Le sisal ;
Le blé ;
Le coton ;
La racine de manioc ;
Le tabac à priser ;
Les légumes ;
Le bétail ;
Les produits de la pêche.
L’Angola a exporté 14,5 millions de dollars (FOB).
Les principales exportations :
Le pétrole et ses dérivés ;
Les diamants ;
Le gaz ;
Le café ;
Le sisal ;
Les produits de la pêche ;
Le bois ;
Le coton.
Les États-Unis sont un
partenaire stratégique de l’Angola. En effet, une grande partie du pétrole angolais est extraite par des compagnies américaines (54 %) et exportée vers les États-Unis (31 %).
L’Angola a développé depuis plusieurs années ses relations avec l’Asie et spécialement avec la Chine qui a octroyé plusieurs prêts gagés sur les ressources pétrolières.
Le gouvernement, à travers l’Agence nationale pour l’investissement privé, cherche activement l’investissement direct étranger en Angola.
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