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Pourquoi étudier Bouddhisme, éthique et affaires ?



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Master / Doctorat : Bouddhisme, affaires, espace économique bouddhiste

Bouddhisme et affaires internationales


Pourquoi étudier « Bouddhisme, éthique et affaires ? ».

Ce cours s’adresse principalement aux entreprises et aux professionnels des affaires internationales qui souhaitent faire des affaires dans les pays de l’espace économique bouddhiste : la Chine, la Corée du Sud, le Japon, le Vietnam, Singapour, le Népal, Taïwan, la Birmanie, le Cambodge, le Laos, le Sri Lanka, la Thaïlande, la Mongolie, le Bhoutan et le Tibet, des marchés sur lesquels l’influence du bouddhisme est fondamentale.

En général, la connaissance du bouddhisme et son influence sur les affaires sont très inconnues, il est donc nécessaire de connaître les piliers du bouddhisme.

Connaître les figures de Sa Sainteté le Dalaï-lama ou la Prix Nobel de la paix, Aung San Suu Kyi, aidera à mieux comprendre les enseignements bouddhistes : la non-violence (Ahimsa), le Nirvana, Arhant / Bodhisattva, les quatre nobles vérités, le noble sentier octuple ou les cinq préceptes qui constituent les piliers de l’éthique bouddhiste.

Dalaï-lama, bouddhisme tibétain. Prix Nobel paix, Vision non-violence (Ahimsa)

Le Japonais Shinichi Inoue a écrit un livre célèbre intitulé « En se mettant à travailler le bouddhisme », fondé sur le concept selon lequel les principes d’une économie bouddhiste pourraient constituer la voie émergente entre le capitalisme et le socialisme.

Ses idées sur une économie bouddhiste prennent beaucoup de force à la fois dans l’espace économique bouddhiste et en Occident. Jigme Singye Wangchuk (roi du Bhoutan) a créé, comme alternative au PIB, l’indice de bonheur intérieur brut pour mesurer l’économie bhoutanaise sur la base des principes bouddhistes.

Comme les autres religions, le bouddhisme est composé de différentes écoles : le bouddhisme mahayana (la Grande Voie, 185 millions de Bouddhistes Mahayana, 56 % de tous les bouddhistes), le bouddhisme theravada (38 % de tous les bouddhistes), le bouddhisme vajrayana ou le bouddhisme zen. Connaître les différences entre eux sera nécessaire pour comprendre leur influence dans l’espace économique bouddhiste et dans la manière de faire des affaires.

Exemple :
Bouddhisme mahayana theravada

De ce point de vue, on peut considérer que l’espace économique bouddhiste est divisé en trois espaces économiques (le bouddhisme dans le monde) :

  1. L’espace économique mahayana : la Chine, la Corée du Sud, le Japon (Zen), le Vietnam, Singapour, le Népal et Taïwan
  2. L’espace économique theravada : la Birmanie, le Cambodge, le Laos, le Sri Lanka et la Thaïlande
  3. Le sous-espace économique vajrayāna (lamaïste) : la Mongolie, le Bhoutan et le Tibet (en plus du sud-ouest de la Chine)

Pour chacun de ces espaces économiques bouddhistes, ils seront analysés :

  1. Les principales organisations économiques de l’espace économique bouddhiste, telles que la Stratégie de coopération économique du Mékong (ACMECS), la Commission du Mékong ou la Sous-région du Grand Mékong
  2. Les principaux accords commerciaux intra-bouddhistes : tels que les accords commerciaux que Singapour a conclus avec le Japon, la Chine ou la Corée du Sud
  3. Les relations entre l’ASEAN et les pays bouddhistes, la communauté économique de l’ASEAN, la zone de libre-échange de l’ASEAN ou les accords commerciaux de l’ASEAN avec le Pakistan, la Chine, la Corée, le Japon, le Canada, l’UE, les États-Unis, Australie - Nouvelle-Zélande, l’Inde ou la Russie
    1. Le Cambodge, le Laos, le Myanmar, Singapour, la Thaïlande et le Vietnam appartiennent à l’ASEAN
  4. Les relations de l’Coopération économique de la zone Asie-Pacifique (APEC) avec les pays bouddhistes
    1. La Chine, la Corée du Sud, le Japon, Singapour, la Thaïlande, Taiwan et le Vietnam appartiennent à l’APEC
  5. Les interactions avec d’autres civilisations telles que le Partenariat Afrique-Corée du Sud, l’Initiative de la baie du Bengale, le nouvel accord commercial entre la Corée du Sud et l’UE ou les accords commerciaux de Taiwan avec Honduras-Salvador, le Guatemala, Panama et le Nicaragua

Pour comprendre l’influence du bouddhisme dans les affaires, nous analyserons les cas de plusieurs entrepreneurs bouddhistes, tels que le japonais Kazuo Inamori (fondateur de Kyocera, directeur général de Japan Airlines et moine bouddhiste), le coréen Lee Kun-hee (président de Samsung, bouddhisme Won), Kith Meng (Cambodge), Thaksin Shinawatra (Thaïlande) ou Padma Yoti (Népal).

Les profils de deux importants entrepreneurs nord-américains, Steve Jobs (Apple) et William Clay Ford Jr (Ford Motor) seront également analysés pour découvrir l’influence du bouddhisme en Occident.

Par conséquent, ce cours est également recommandé à quiconque souhaite faire des affaires avec des entreprises bouddhistes du monde entier ou qui souhaite travailler dans une entreprise d’origine bouddhiste.

Le cours s’adresse également à tous ceux qui souhaitent faire des affaires sur les marchés de l’espace économique bouddhiste.

Notes :

  1. L’analyse de la Chine ne se fait pas dans ce cours, mais dans le Cours : confucianisme, taoïsme et affaires
  2. Bien que le bouddhisme ait émergé en Inde, il n’est plus pratiqué que par 0,8 % des Indiens
  3. Dans des pays comme la Corée ou Singapour, le bouddhisme n’est pas la religion majoritaire, coexistant avec d’autres religions comme le bouddhisme

Pourquoi étudier religions et affaires ?

Institut Gita-Ramakrishna.

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