EENI École d'Affaires / Business School

Investissement en Chine

Programme de l’unité d’enseignement (UE)

L’investissement direct étranger (IDE) en Chine

  1. L’investissement direct étranger en Chine
  2. L’environnement des investissements
  3. Les secteurs d’investissement
  4. Les conseils pour investir
  5. Le projet de mise en place
  6. Les couts et les procédures d’investissement
  7. Étude de cas : Wal-Mart en Chine

Étudiants, affaires, commerce international

L’UE « L’investissement direct étranger (IDE) en Chine » fait partie des programmes FOAD Online proposés par l’EENI Global Business School :

Doctorat : commerce mondial.

Doctorat professionnel en affaires internationales (DIB)

Masters : affaires internationales, commerce international.

Masters professionnels en commerce international et affaires

Cours : confucianisme, taoïsme et affaires.

Confucianisme, taoïsme et affaires

Langues : Masters affaires internationales, français (Afrique) + Doctorats masters cours, affaires et commerce international en anglais China FDI Étudier en espagnol master commerce international et affaires IDE en China Doctorats masters cours en portugais. Affaires et commerce international China.

Affaires en Chine

L’investissement direct étranger en Chine.

Les opportunités en Chine sont énormes : le fort investissement public (24 000 millions de dollars), le développement du pouvoir d’achat de la population, l’environnement, l’urbanisation, les services, etc.

Mais la Chine est un marché extraordinairement complexe, bureaucratique et compétitif.

  1. La Chine est un pays avec ses caractéristiques propres, où les règles du jeu sont différentes d’autres pays et connaitre ces règles seront indispensables pour faire des affaires en Chine
  2. Il y a des aspects culturels et sociologiques très différents : l’influence du confucianisme et du taoïsme, des coutumes, une culture millénaire ou la difficulté de la langue
  3. Les relations personnelles (GUANXI, chez les chinois), seront fondamentales, puisque sous l’éthique confucianiste le négociateur chinois voudra s’assurer que « je suis honorable » et qu’ainsi nous pourrons arriver à un accord ; si nous ne sommes pas capables de développer le « Guanxi » il sera difficile de faire des affaires en Chine. Cela implique que les négociations peuvent devenir très lentes et ainsi couteuses
  4. L’organisation d’un réseau de distribution sera l’un des problèmes les plus importants que nous trouverons en Chine (en général, il est mal organisé et très segmenté)
  5. Cependant, l’nOrganisation mondiale du commerce (OMC) apporte une série d’avantages : une réduction du tarif moyen 9,4 %, une élimination des quotas et des licences d’importation, les compagnies étrangères peuvent entrer dans les affaires de distribution (en acceptant l’établissement des entreprises à capitale 100 % étrangers dans les secteurs de la distribution, de ventes maritimes et des services), une plus grande uniformité dans l’évaluation douanière, la moindre incertitude légale et la plus grande transparence, protection de la propriété intellectuelle et industrielle etc
  6. Une enquête montre que Hong Kong est considéré comme le plus puissant centre financier en Asie, tandis que Shanghai possède le marché intérieur où il y a plus opportunités d’accomplir des profits

Selon la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) :

« La Chine a copié le modèle de base des pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques, ce qui lui a ensuite permis d’attirer des flux importants d’investissement direct à l’étranger. La maitrise des TIC, la facilitation de l’accès au crédit, un bon régime de protection de la propriété intellectuelle et d’accès aux produits fonciers sont aussi nécessaires dans la promotion du développement. Les petites et moyennes entreprises ont besoin d’informations, car contrairement aux entreprises transnationales, elles ne connaissent pas les marchés mondiaux ».

Initiative de transports terrestres eurasiatiques (Route de la soie Chine-Europe)