EENI École d'Affaires / Business School

Commerce intra-africain. Diversification exportations



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Programme de l’unité d’enseignement (UE)

Plan d’action stimuler le commerce intra-africain, douanes africaines

Cette unité d’enseignement se compose de deux parties :

1- Introduction au commerce intra-africain.

  1. La structure du commerce africain
  2. Les obstacles au commerce intra-africain
  3. La diversification des exportations
  4. Le manque d’infrastructures
  5. Les zones de libre-échange
  6. La libéralisation du commerce international
  7. Les barrières commerciales
  8. Le commerce transfrontalier
  9. Les douanes africaines
  10. Le réseau d’information commerciale
  11. Les TIC
  12. Les couts élevés de faire des affaires
  13. Les marchés financiers et l’accès au crédit
  14. Les devises : multiplicité et non convertibilité. Le franc CFA et le rand sud-africain
  15. La libre circulation des personnes, de travail et des capitaux
  16. Le manque de cadres régionaux pour les services et la libéralisation du commerce

2- Le plan d’action pour stimuler le commerce intra-africain.

  1. La politique commerciale
  2. La facilitation des échanges
  3. Le commerce et les infrastructures
  4. Le financement du commerce
  5. L’information sur le commerce
  6. L’intégration comme facteur de marché
  7. Vers la zone de libre-échange continentale africaine

Les objectifs de l’UE « le commerce intra-africain » sont :

  1. Connaitre la structure du commerce africain (les exportations, les importations, l’IDE, le commerce transfrontalier...)
  2. Évaluer les obstacles techniques au commerce intra-africain
  3. Analyser les programmes de libéralisation du commerce
  4. Comprendre le rôle des douanes africaines
  5. Connaitre le plan d’action pour stimuler le commerce intra-africain pour augmenter 25 % le commerce intra-africain de la CEA

Étudiant africaine (cours, master, doctorat) en affaires internationales

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Exemple : le commerce intra-africain
Commerce intra-africain. Diversification exportations, douanes africaines

L’objectif principal du plan d’action pour stimuler le commerce intra-africain est d’augmenter 25 % le commerce intra-africain (actuellement : 10 %) par l’intégration régionale.

L’objectif final est de créer un marché continental (Marché commun africain) : la zone de libre-échange continentale africaine (CFTA).

Les produits africains ont un coût compétitif « à l’usine (EXW) » mais le processus de distribution en Afrique (transport et logistique, manutention, douanes, stockage...) augmentent le prix final en générant une perte de compétitivité.

Le plan d’action pour stimuler le commerce intra-africain identifie plusieurs obstacles au commerce intra-africain (la diversification des exportations, le manque d’infrastructures, les barrières commerciales, le commerce transfrontalier, les douanes...).

  1. L’un des problèmes du commerce intra-africain est les délais des douanes africaines (douze jours, à l’Asie centrale : six jours)
  2. Près de 80 % des exportations africaines sont exportées hors de l’Afrique
  3. Le développement de guichets uniques nationaux est un facteur clé pour améliorer le commerce intra-africain

Chaîne de valeur du cacao en Afrique de l’Ouest

Les communautés économiques régionales (CER), comme le COMESA (Marché commun de l’Afrique orientale et australe), la SADC (Communauté de développement d’Afrique australe), l’IGAD (Autorité intergouvernementale sur le développement), l’EAC (Communauté est-africaine), la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest), la CEN-SAD, la CEEAC (Communauté économique des États de l’Afrique centrale) ou de l’Union du Maghreb arabe (UMA)... Sont les piliers clés de cette vision selon le traité d’Abuja (Communauté économique africaine).

  1. Les communautés économiques régionales travaillent dans les zones de libre-échange, les unions douanières, les marchés communs et les unions économiques et monétaires
  2. La Commission économique pour l’Afrique et l’Union africaine sont les promoteurs de ce plan ambitieux
  3. L’accord COMESA-EAC-SADC ou l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA) sont de bons exemples de l’intégration régionale en Afrique qui peuvent stimuler le commerce intra-africain
  4. Maintenant, l’Afrique ne représente que 3 % du commerce mondial
  5. La Chine, l’Inde, l’Union européenne et les États-Unis (programme AGOA) sont les principaux partenaires de l’Afrique

Portail affaires africains de l’EENI.



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