Les objectifs de l’UE « le commerce international et les affaires en Côte d’Ivoire » sont les suivants :
Apprendre à faire des affaires en Côte d’Ivoire ;
Évaluer les opportunités d’affaires en Côte d’Ivoire ;
Analyser les relations commerciales (importations, exportations, IDE) de la Côte d’Ivoire avec le pays de l’étudiant ;
Connaitre les accords de libre-échange de la Côte d’Ivoire ;
Apprendre à élaborer un plan d’affaires pour le marché ivoirien ;
Étudier le profil des entreprises ivoiriennes.
Exemple : Le commerce international et les affaires en Côte d’Ivoire :
L’UE « Commerce international et affaires en Côte d’Ivoire » fait partie des programmes FOAD Online proposés par l’EENI Global Business School (École d’Affaires) :
La Côte d’Ivoire appartient à l’espace économique d’Afrique de l’Ouest de la civilisation africaine.
Côte d’Ivoire Télécom, l’opérateur ivoirien de télécommunications est une société anonyme au capital de 15 milliards de F C.F.A. C’est en 1997 que le gouvernement ivoirien choisit, après un appel d’offres international, dans le cadre de son programme de privatisation, la France Câbles et Radio - filiale du groupe France Télécom - comme partenaire stratégique et majoritaire (51 %).
Les principales ressources de la Côte d’Ivoire (Afrique)
sont le cacao (le premier producteur mondial), le gname (le deuxième producteur mondial), le café (dixième producteur mondial), les bananes, l’huile de palme, le coton, le bois, le pétrole, le gaz, les diamants, l’or, le nickel, le tourisme. ;
Le sud de la Côte d’Ivoire concentre 85 % de l’activité économique ;
Les petites et moyennes entreprises représentent 61 % des entreprises ivoiriennes, avec un chiffre d’affaires annuel
de 500 millions Franc CFA, chacune ;
L’industrie ivoirienne contribue pour 20 % au produit intérieur brut et représente 40 % de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) ;
L’agriculture contribue pour 2 % à la croissance économique annuelle de la valeur ajoutée ivoirienne ;
La production des industries agroalimentaires représente 25 % du produit intérieur brut du secteur secondaire ivoirien ;
Meilleure performance récente : les produits chimiques, l’eau,
l’électricité, l’extraction de minéraux. ;
Les industries touchées par la crise : la construction, l’agroalimentaire, le textile et le bois.
Les principales productions agroalimentaires ivoiriennes :
Le cacao. 1 367 200 tonnes / an. La Côte d’Ivoire est la première productrice mondiale ;
Le café. 117 000 tonnes / an ;
Cola. 50 000 à 75 000 tonnes / an. La Côte d’Ivoire est la première du monde ;
L’huile de palme. 284 500 tonnes / an ;
L’Hévéa. 130 000 tonnes / an ;
Les semences de coton : 221 700 tonnes / an ;
Le sucre : 152 900 tonnes / an ;
Le caoutchouc : 179 000 tonnes / an ;
La noix de cajou : 230 000 tonnes / an.
Le commerce international de la Côte d’Ivoire.
Malgré la crise sociopolitique des dernières années, les partenariats économiques de la Côte d’Ivoire avec les pays émergents ont nettement augmenté, en particulier ceux qui sont avec les pays asiatiques : la République populaire de Chine, la Corée du Sud, l’Inde, Singapour, la Thaïlande, le
Brunei Darussalam, l’Indonésie
et la Malaisie ;
L’Asie est la troisième plus grande partenaire commerciale (12,5 %) de la Côte d’Ivoire, après l’Europe (44 %) et l’Afrique (29 %) ;
La Chine, qui est le premier partenaire asiatique de la Côte d’Ivoire, représente encore une part modeste (3,2 %) de l’économie.
Exemple :
Exemple :
(c) EENI Global Business School (École d’Affaires) 1995-2022
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