Marché commun Afrique orientale (COMESA)L'union douanière, Marché commun de l'Afrique orientale (COMESA) communauté économique
Exemple : le Marché commun de l’Afrique australe et orientale (COMESA) : Les objectifs de l’UE « le COMESA » sont :
L’UE « Le Marché commun de l’Afrique australe et orientale (COMESA) » fait partie des programmes FOAD proposés par l’EENI Global Business School : Doctorat en affaires africains, commerce mondial. Master en affaires en Afrique, affaires internationales. Cours : l’intégration régionale en Afrique. Affaires en Afrique de l’Est, Afrique centrale, Afrique australe
Langues : ou Common Market for Eastern and Southern Africa (COMESA) Mercado Comum da África Oriental e Austral (COMESA) Mercado Común de África Oriental y Austral (COMESA).
COMESA : 50 % des entrées d’IDE en Afrique. Les États membres du COMESA sont le Burundi, les Comores, Djibouti, l’Égypte, l’Érythrée, l’Éthiopie, l’Île Maurice, le Kenya, la Libye, Madagascar, le Malawi, l’Ouganda, la RD Congo, le Rwanda, les Seychelles, le Soudan, le Eswatini, la Tunisie, la Zambie et le Zimbabwe. Le Soudan du Sud a demandé l’accès au COMESA. La stratégie du COMESA est : l’expansion économique à travers l’intégration régionale. Le traité établissant le COMESA a été signé en 1993. L’accord est entré en vigueur en 1994. Le traité du Marché commun de l’Afrique australe et orientale remplace la zone du commerce international préférentielle (depuis 1981). Après l’indépendance des pays de l’Afrique ont convenu d’admettre le besoin d’une coopération économique régionale. Plutôt que d’essayer de signer immédiatement un accord régional panafricain, les pays africains choisirent de promouvoir d’abord l’intégration économique et le commerce international dans la région de l’Afrique australe et orientale. Le Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA) représente un vaste marché tant pour le commerce interne comme pour l’international :
Le Marché commun de l’Afrique Orientale et australe (COMESA) constitue un marché très puissant pour le commerce international :
Dans la zone de libre-échange du COMESA (depuis 2000) les droits de douane sont nuls entre plusieurs économies de la région du COMESA : Djibouti, l’Égypte, le Kenya, Madagascar, le Malawi, l’Île Maurice, le Soudan, la Zambie et le Zimbabwe. Le Burundi et le Rwanda ont rejoint la zone de libre-échange en 2003. La zone de libre-échange COMESA (Marché commun de l’Afrique australe et orientale) a permis de faire progresser le commerce international entre ces pays de manière notable (+ 30 % les deux premières années). L’objectif de la coopération en matière du commerce international, des douanes et des affaires monétaires est de représenter un espace économique totalement intégré et compétitif dans lequel le commerce de produits et services, des investissements directs étrangers, des capitaux et de la main-d’oeuvre circulent librement. Un accord-cadre sur le commerce et l’investissement direct étranger a été signé avec les États-Unis en 2001, avec l’objectif de promouvoir le commerce international ainsi que de créer des conditions favorables aux investissements directs étrangers et à la diversification du commerce international. Un bureau de l’AGOA (Loi sur la croissance et les opportunités en Afrique) est créé à Lusaka. Les anciens membres du Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA) : le Lesotho (1997), le Mozambique (1997), la Tanzanie (2 000), la Namibie (2004), l’Angola (2007). Le Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA) appartient à la civilisation africaine :
Portail affaires africains de l’EENI. Les corridors de transport africains de la région du COMESA :
Les plus grands ports de la région du COMESA : Exemple : (c) EENI Global Business School 1995-2024
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