Affaires à Chypre, Nicosie, flotte maritime

1. L’introduction à la République de Chypre (UE)
2. L’économie de Chypre : la quatrième flotte de transport maritime mondiale
3. Le transport et la logistique
4. Les affaires à Nicosie
5. Le commerce international chypriote
6. L’investissement direct étranger à Chypre
7. L’accès au marché chypriote
8. Le plan d’affaires pour Chypre

Les buts de l’unité d’enseignement « Commerce international, logistique et affaires à Chypre » sont :

1. Analyser l’économie, la logistique et le commerce global chypriote
2. Rechercher les opportunités d’affaires sur le marché chypriote
3. Analyser les relations commerciales de Chypre avec le pays de l’étudiant
4. Connaitre la logistique et les accords commerciaux de Chypre en tant que membre de l’Union européenne
5. Élaborer un plan d’affaires pour le marché chypriote

L’unité d’enseignement « Commerce et affaires à Chypre » fait partie des programmes de l’EENI Global Business School :

Master en affaires internationales, commerce international.

Doctorat en commerce mondial.

Langues : + Cyprus Chipre Chipre.

1. Crédits de l’UE « Affaires à Chypre » : 1 ECTS

L’accès préférentiel et les accords de Chypre :

1. Chypre et l’espace économique européen
2. L’Union européenne
   1. En tant que membre de l’UE, Chypre est bénéficiaire des accords de l’Union européenne avec l’Algérie, le Maroc, le Partenariat euro-méditerranéen, le partenariat stratégique UE-Afrique, Union douanière d’Afrique australe (SACU), la Côte d’Ivoire, la Tunisie, l’Afrique du Sud, la Corée du Sud...
   2. Le marché unique de l’Union européenne
   3. L’Union douanière de l’Union européenne
   4. La Directive « services » du marché intérieur de l’Union européenne
   5. Le marché unique numérique européen

1. L’Organisation mondiale du commerce (OMC)
   1. L’Accord général sur le commerce des services
   2. L’Accord sur les obstacles techniques au commerce
   3. L’Accord sur l’application des mesures sanitaires
   4. L’Accord sur l’inspection avant expédition
   5. L’Accord sur les sauvegardes
   6. L’Accord sur la facilitation des échanges
2. Le Bureau des Containers et du Transport Intermodal
3. La Convention de Chicago (OACI)
4. L’Organisation mondiale des douanes (OMD)
   1. La Convention de Kyoto
5. L’Organisation maritime internationale (OMI)
   1. La Convention d’Istanbul
   2. La Convention sur la sécurité des conteneurs
6. La Convention douanière relative aux conteneurs (non membre)
7. La Chambre de commerce internationale (CCI)
8. La Convention des contrôles des marchandises aux frontières
9. La Chambre de la marine marchande
10. L’Union Transports Routiers (IRU)
    1. La Convention TIR
    2. Le Code sur l’arrimage sécurisé (véhicules routiers)

Les relations économiques internationales de Chypre.

1. L’Union européenne
   1. La Commission européenne
   2. Le Comité économique et social européen
   3. La Banque européenne d’investissement (BEI)
   4. La BERD
2. La Commission économique pour l’Europe
3. L’Organisation pour la sécurité coopération en Europe (OSCE)

Les organisations mondiales :

1. La Banque mondiale
2. Les Nations Unies
3. Le Fonds monétaire international (FMI)
4. Le Dialogue Asie-Europe
5. L’OIF - pays associé

1. La capitale chypriote : Nicosie
2. La langue officielle : le turc et le grec
3. La superficie de Chypre : 9 251 kilomètres²
4. La population chypriote : 1,14 millions d’habitants
5. Le type de gouvernement : République présidentielle
6. Les pays les plus prochains (par mer) : la Turquie, la Syrie et la Grèce
7. L’indépendance chypriote : 1960 (Royaume-Uni)
8. Le nord de Chypre était occupé par la Turquie (1974) en créant la République Turque du nord du Chypre (seulement reconnu par Turquie)

La religion à Chypre : le christianisme orthodoxe.

Chypre appartient à la civilisation orthodoxe (espace économique européen).

L’économie de Chypre.

1. La République de Chypre est fondée sur le secteur tertiaire
2. Le secteur industriel chypriote : 25 % de la population
3. La monnaie chypriote : Euro (2008)
4. Chypre est membre de l’UE depuis 2004
5. En 2012, sauvetage de l’UE (17.500 millions d’euros)