EENI École d'Affaires / Business School

Afrique : le prochain continent émergent, Nigeria



Programme de l’unité d’enseignement (UE)

Pourquoi faire des affaires en Afrique ? Transformation africaine

Quelques raisons pour faire des affaires en Afrique.

1- La population africaine.

2- Le nouveau rôle des femmes africaines.

3- La profonde transformation socio-économique de l’Afrique.

4- L’émergence des femmes et hommes d’affaires africains.

5- Le commerce intra-africain et l’intégration régionale en Afrique.

6- Le besoin d’infrastructures.

7- Une meilleure gouvernance en Afrique.

8- L’Afrique et le marché mondial.

Afrique prochain continent émergent

Étudiant africaine (cours, master, doctorat) en affaires internationales

Nous croyons en l’Afrique / Enseignement supérieur à des prix abordables pour les africains

1- La population africaine.

« l’avenir de l’humanité est de plus en plus africain » (UNICEF).

  1. La population africaine :
    1. 2015 : 1,1 milliard d’habitants
    2. 2030 : 1,6 milliard d’habitants
    3. 2100 : 4 milliards d’habitants (1 milliard au Nigeria)
    4. En trente-cinq ans, 25 % de la population mondiale sera africaine
  2. Le dividende démographique
  3. La classe moyenne émergente en Afrique :
    1. 350 millions d’habitants (34 % de la population africaine)
    2. 1 100 millions en 2040 (42 % de la population africaine)
  4. L’urbanisation en Afrique : 353 millions d’habitants. En 2040, la moitié des Africains habiteront en une ville
  5. La population jeune africaine : 60 % (le marché de travail le plus grand du monde)

Et nous ne pouvons pas oublier que...

L’Afrique est le berceau de l’humanité.

2- Le nouveau rôle des femmes africaines.

519 millions de femmes africaines : le pilier fondamental du développement économique de l’Afrique.

  1. 70 % de la main-d’oeuvre agricole en Afrique
  2. Elles produisent 90 % de toutes les nourritures de l’Afrique
  3. H.E. Docteur Nkosazana Dlamini-Zuma - ex Présidente de la Commission de l’Union africaine
  4. Ellen Johnson-Sirleaf (présidente du Libéria)

3- L’économie africaine : la transformation socio-économique de l’Afrique.

La croissance économique de l’Afrique (derniers dix ans) : 5 %.

  1. La plus grande économie de l’Afrique : le Nigeria, suivi de l’Afrique du Sud, l’Égypte, l’Algérie, l’Angola, le Maroc, le Soudan, le Kenya, l’Éthiopie
  2. L’Afrique a vingt marchés frontaliers mondiaux (50 % du total du monde)
  3. Les marchés frontaliers (pionniers) en Afrique : le Nigeria, le Kenya, l’Angola, le Ghana, l’Éthiopie, le Maroc, la Tanzanie, l’Algérie, la Côte d’Ivoire, la Zambie, l’Ouganda
  4. L’Afrique du Sud est membre des pays du BRICS
  5. Les principaux secteurs économiques Africains : l’agriculture (25 % du PIB) et les services
  6. Le secteur producteur de l’Afrique : 10 % du PIB de l’Afrique
  7. d’énormes ressources minérales
  8. Les prix des matières premières
  9. L’accroissement de la demande interne en Afrique
  10. Le boom du commerce électronique. Les TIC: 7 % du PIB de l’Afrique. La révolution du téléphone mobile en Afrique (650 millions d’utilisateurs de téléphones mobiles)
  11. L’Agenda 2063 : « l’avenir que nous voulons pour l’Afrique » (Union africaine)

Le Nigeria : le premier marché pionnier (frontalier) mondial.

4- L’émergence des femmes et des hommes d’affaires africains.

  1. Alhaji Aliko Dangote (l’homme le plus riche d’Afrique - Nigeria)
  2. Isabel dos Santos (la femme la plus riche d’Afrique - Angola)
  3. Onsi Sawiris, Mike Adenuga, Mohammed Mansour, Issad Rebrab, Folorunsho Alakija, Othman Benjelloun, Patrice Motsepe, Aziz Akhannouch, Miloud Chaabi, Theophilus Danjuma, Tony Elumelu

5- Le commerce intra-africain et l’intégration régionale en Afrique.

Vers la zone de libre-échange continentale africaine.

  1. Petits fluxes du commerce intra-africain (10-13 %)
  2. Près 80 % des exportations africaines s’exportent en dehors de l’Afrique
  3. Le Plan d’action pour stimuler le commerce intra-africain (objectif : 25 % du commerce entre les pays africains)
  4. Le coût d’envoi d’un conteneur de Durban (l’Afrique du Sud) à Lusaka : 8 000 dollars (1 800 dollars de Durban au Japon)
  5. Les importations de nourriture de l’Afrique : 39 000 millions de dollars annuels
  6. Les communautés économiques régionales (CER) : le commerce et l’intégration du Marché, la réduction des obstacles techniques au commerce entre les pays africains, harmonisation des politiques sectorielles, la politique macroéconomique de convergence, l’intégration monétaire et financière
  7. L’accord COMESA-EAC-SADC
  8. L’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA)
  9. La zone de libre-échange continentale africaine (ZLEC) : cinquante-quatre pays, 1 000 millions d’habitants, PIB combiné : 1,2 trillon de dollars

6- Besoin d’infrastructures.

Le Programme pour le développement d’infrastructures en Afrique (PIDA).

  1. L’énergie. 600 millions d’Africains sans accès à l’électricité
  2. Le transport et la logistique. 18 000 millions de dollars des investissements annuels. Le développement des corridors de transport africains
  3. Les TIC
  4. La gestion transfrontalière des ressources hydriques

7- Une meilleure gouvernance en Afrique.

Un meilleur environnement des affaires en Afrique.

  1. Plus gouvernements démocratiques
  2. L’Mécanisme africain d’évaluation par les pairs
  3. Élections pacifiques
  4. Moins corruption
  5. Meilleur environnement d’affaires
  6. L’amélioration de la facilité de faire des affaires (BM). L’Île Maurice est le pays africain avec le rang le plus élevé suivi de l’Afrique du Sud, le Rwanda, le Ghana
  7. Augmentation des recettes fiscales
  8. Moins conflits africains (Vision « le silence des armes » de l’Union africaine)

8- L’Afrique et le marché mondial.

L’Afrique : seulement 3 % du commerce mondial.

  1. La participation de l’Afrique en la production mondiale : 1,5 %
  2. L’émergence de l’association l’Afrique - pays du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud)
  3. Le commerce entre la Chine et l’Afrique : 200 000 millions de dollars
  4. Le commerce Afrique-Inde : 90 000 millions de dollars
  5. Les acteurs : les États-Unis, la Chine, l’Inde, les pays du BRICS, les pays arabes, la Corée du Sud, le Japon, la Turquie
  6. Le corridor logistique Asie-Afrique

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