Zone de libre-échange africaineVers la zone de libre-échange continentale africaine (ZLEC). Impact économique (COMESA, SADC, EAC, IGAD)
Exemple : la zone de libre-échange continentale africaine Les objectifs de l’UE « La zone de libre-échange continentale africaine (ZLEC) » sont :
L’UE « La zone de libre-échange continentale africaine (ZLEC) » fait partie des programmes FOAD proposés par l’EENI Global Business School : Cours : Intégration régionale en Afrique, Transport en Afrique. Master en affaires en Afrique, transport en Afrique, affaires internationales, commerce international. Doctorat en affaires africains, commerce mondial.
Langues : ou African Free Trade Area CFTA Zona de Libre Comercio Africa Área de Livre Comércio Africana. Les crédits de l’UE « La zone de libre-échange continentale africaine » : 1 ECTS - CECT. La zone de libre-échange continentale (ZLEC) En 1962, a été fondée l’Organisation de l’Union africaine, l’un de ses objectifs était de rechercher un modèle socio-économique pour la période la postindépendance avec la vision de « L’unité et l’intégration ». En 1980, a été adopté le plan de Lagos et, en 1991, le traité d’Abuja, avec le but de créer la Communauté économique africaine en six phases en trente-quatre ans, ou les communautés économiques régionales (CER) jouent un rôle-clé. En 2000, l’Union africaine fut créée. Les pays membres de l’Union africaine (UA) : l’Afrique du Sud, l’Algérie, l’Angola, le Bénin, le Botswana, le Burkina Faso, le Burundi, le Cameroun, le Cap-Vert, les Comores, la Côte d’Ivoire, Djibouti, l’Égypte, l’Eswatini, l’Éthiopie, l’Érythrée, le Gabon, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Guinée équatoriale, le Kenya, le Lesotho, le Libéria, la Libye, Madagascar, le Malawi, le Mali, le Maroc, Maurice, la Mauritanie, le Mozambique, la Namibie, le Niger, le Nigeria, l’Ouganda, la République centrafricaine, la RD Congo, la République du Congo, le Rwanda, la République arabe sahraouie démocratique, Sao Tomé-et-Principe, le Sénégal, les Seychelles, la Sierra Leone, la Somalie, le Soudan, le Soudan du Sud, la Tanzanie, le Tchad, le Togo, la Tunisie, la Zambie, le Zimbabwe. Mais aujourd’hui la vision d’une « intégration du marché panafricaine » n’a pas atteint. Par exemple, le commerce intra-africain est seulement d’un 10 %. 66 % des pays africains ont limitée l’accès au marché et le protectionnisme est encore prédominant dans les politiques gouvernementales, principalement dans le secteur de l’agriculture. En 2012, l’Union africaine annonçait le Plan d’action pour l’intensification du commerce intra-africain avec le but de stimuler le commerce intra-africain en 35 milliards de dollars chaque année (principalement d’agriculture et des produits industriels) et de réduire les importations africaines du monde en 10 milliards de dollars. Les objectifs principaux de la zone de libre-échange continentale africaine (ZLEC) sont les suivants :
L’accord COMESA-EAC-SADC est un excellent exemple des avantages de la future zone de libre-échange continentale africaine (ZLEC). La Commission économique pour l’Afrique (CEA) identifie deux scénarios : 1) Le premier groupe formé par les pays de l’accord tripartite (ou groupe de l’Afrique du Sud-Est) :
2) Le deuxième groupe (Afrique du nord - Ouest - centrale) formé par :
Et, finalement, la fusion de ces deux groupes dans la zone de libre-échange continentale africaine (CFTA). Maintenant, il y a quinze communautés économiques régionales en Afrique qui travaillent pour l’intégration régionale de l’Afrique :
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