EENI École d'Affaires / Business School

Éthique mondiale et affaires internationales



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Programme de l’unité d’enseignement (UE)

Non-violence dans la pensée, les paroles et les actions, harmonie interreligieuse

Religions, éthique et affaires internationales, IA
Religions et affaires mondiales - diversité religieuse

Éthique mondiale

Le modèle EENI d’éthique mondiale basé sur l’Ahimsa dans la pensée, les paroles et les actions, ainsi que sur le principe d’harmonie interreligieuse de Ramakrishna, définit un cadre compatible avec tous ces chemins spirituels et les affaires mondiales.

« Le principe de la non-violence du Mahatma Gandhi et le témoignage de Sri Ramakrishna Paramahansa sur l’harmonie des religions : nous avons ici l’attitude et l’esprit qui pourraient permettre à l’espèce humaine de grandir au sein d’une même famille » Arnold Toynbee.

Harmonie des religions (Sri Ramakrishna)
Harmonie des religions

Affaires Ahimsa (non-violence)
Ahimsa (Non-violence)

Principe de l’harmonie raciale (EENI, Kwegyir Aggrey)
Le principe de l’harmonie raciale de l’EENI (James Emman Kwegyir Aggrey).

  1. L’introduction à l’éthique mondiale
  2. Les sources de l’éthique mondiale
  3. Les religions comme les « traditions de sagesse » de l’humanité : l’une des sources principales de l’éthique mondiale
  4. La recherche d’un modèle d’éthique mondiale
  5. Les deux principaux principes de l’éthique mondiale
    1. Harmonie des religions
    2. Ahimsa (Non-violence)
  6. La compatibilité d’un modèle d’éthique mondiale avec les religions du monde
  7. Les implications sur le marketing international
  8. Des chefs d’entreprise qu’appliquent des modèles fondés sur l’éthique globale
  9. Pourquoi avons-nous besoin d’une éthique mondiale ?
  10. Étude de cas : Chick-fil-A et le conflit éthique autour de ses valeurs religieuses

Sri Ramakrihsna Paramahansa, hindouisme

L'influence culturelle de la religion dans les affaires mondiales

  1. La mondialisation spirituelle
  2. Différences religieuses et conflits éthiques
  3. Risques religieux pour l'entreprise mondiale
  4. Intelligence culturelle et diversité religieuse
  5. Engager les chefs religieux comme stratégie commerciale
  6. Religion et cadres éthiques

Les buts de l’unité d’enseignement « L’éthique mondiale et les affaires internationales » sont :

  1. Définir les piliers d’un modèle d’éthique mondiale
  2. Comprendre les religions de l’humanité comme des sources d’un modèle d’éthique mondiale
  3. Analyser les deux principes clefs de l’éthique mondiale : Ahimsa (non-violence) et l’harmonie des religions
  4. Réfléchir sur l’impact du modèle d’éthique mondiale dans les sociétés (le marketing, les stratégies, les relations...)
  5. Analyser le profil des femmes et des hommes d’affaires du monde entier qu’appliquent des modèles d’éthique mondiale

Il s’adresse à : tous ceux qui croient en la nécessité de mettre en œuvre un modèle d’éthique mondiale dans ses sociétés fondées sur les principes de l’harmonie des religions et d’Ahimsa.

« À mon avis, l’éthique consiste à montrer à tous la volonté de vivre avec le même respect envers les autres. » Albert Schweitzer.

Étudiant africaine, affaires internationales

L’unité d’enseignement « L’éthique mondiale » fait partie des programmes de l’EENI Global Business School :

Doctorat en éthique, religions et affaires, commerce mondial.

Doctorat professionnel en affaires internationales (DIB Online, IA)

Masters : religions et affaires, affaires internationales.

Masters professionnels en commerce international et affaires, IA

Langues : Masters affaires internationales, français (Afrique) ou Formation affaires et commerce international en anglais (Online, IA) Global Ethics Étudier en espagnol master commerce international, affaires, IA Ética Global.

  1. Crédits de l’unité d’enseignement « L’éthique mondiale » : 1 ECTS
  2. Télécharger le programme de l’unité d’enseignement « L’éthique mondiale » (PDF)

Sri Ramakrishna, Harmony, so many paths, so many religions

L’éthique mondiale : « les valeurs partagées par l’humanité ».

« Une vision commune et fondamentale de ce qui est légitime, juste et équitable... Une éthique économique mondiale s’appuie sur des principes moraux et des valeurs qui, depuis des temps immémoriaux, ont été partagés par toutes les cultures et ont été soutenus par une expérience pratique commune ». Manifeste pour une éthique économique mondiale.

Un leader spirituel hindouiste inspire un homme d’affaires musulman (Hamied)
Hindouisme Islam

Où pouvons-nous trouver les sources de l’éthique mondiale ?.

Les religions comme des « traditions de sagesse » de l’humanité : l’une des principales sources de l’éthique mondiale.

« Qui sont les plus grands bienfaiteurs de l’humanité à notre époque ?. Je dois dire qu’ils sont Confucius, Mohammed, Lao Tseu, Jésus, Bouddha, Zoroastre, les prophètes d’Israël et de Juda et Socrate. » Sir Arnold Toynbee.

Religions, civilisations et intégration économique

En Occident, certaines personnes préfèrent parler des « traditions de sagesse » au lieu des religions.

Au lieu de chercher des différences (concept de la négociation interculturelle), nous rechercherons les points de convergence, en facilitant le dialogue, la diplomatie culturelle, les relations internationales et les affaires.

Les religions (éthique) influencent considérablement sur la façon de faire des affaires, notamment dans les pays « non occidentaux ». Une grande partie de l’humanité (l’Afrique, l’Amérique latine, les pays arabes, l’Inde et l’Asie du sud-est) est beaucoup plus spirituelle que l’Occident.

Dans de nombreux pays, mélanger la religion et les affaires est considéré comme un tabou. Mais c’est possible, si nous le faisons dans le respect et la connaissance.

Les religions définissent souvent ce qui est moralement acceptable dans les relations personnelles, et donc dans les relations professionnelles. Ce qui est acceptable ou non est défini dans les livres saints : la Bible pour le christianisme, le Coran pour l’islam ou la Bhagavad Gita pour l’hindouisme. Par exemple, dans l’islam, les prêts à intérêt sont interdits par la charia ; les sikhs mettent l’accent sur la droiture, tandis que dans l’hindouisme et le bouddhisme, la non-violence est fondamentale.

L’Occident a besoin de changer sa vision du monde et de comprendre que le monde est différent ; et c’est seulement avec la connaissance et le respect envers les autres, qu’il peut jouer le rôle lui correspondant dans le nouvel ordre mondial.

La science peut sauver des vies, mais peut aussi les détruire. Les religions ont des aspects positifs mais aussi négatifs. Il y a de nombreux essais sur les aspects négatifs des religions, une réalité que l’histoire nous a enseignée. Mais les religions ont aussi un côté positif, comme des sources de sagesse antique, émanant des principes d’éthique partagées par presque toutes les religions du monde.

« Le mouvement des Harijan (intouchables) est trop important pour un simple effort intellectuel. Il n’y a rien de pire dans le monde (système des castes). Et cependant je ne peux pas laisser la religion et, par conséquent, l’hindouisme.
Ma vie serait un poids pour moi, sans ma religion.

J’adore le christianisme, l’islam et beaucoup d’autres religions par le biais de l’hindouisme. » Mahatma Gandhi.

« Personnaliser la science au bénéfice des pays en voie de développement » Docteure Hayat Sindi (Arabie).

Spiritualité et religion dans l’éthique des affaires.

La spiritualité et la religion fournissent des fondements éthiques qui influencent le comportement des entreprises, la prise de décision et les relations avec les parties prenantes dans le commerce international. Si la religion propose des doctrines structurées (par exemple, les Dix Commandements du christianisme, le Dharma de l’hindouisme ou la charia de l’islam), la spiritualité met souvent l’accent sur des principes plus larges tels que la pleine conscience, la compassion et l’interdépendance, qui peuvent transcender des croyances spécifiques.

Cadres éthiques religieux :

  1. Christianisme : Des principes tels que « l’amour du prochain » et une gestion responsable façonnent la responsabilité sociale des entreprises (RSE). Par exemple, l’entreprise américaine TOMS Shoes, inspirée par la charité chrétienne, fait don d’une paire de chaussures par vente, ce qui correspond aux 65 % de consommateurs qui privilégient les marques éthiques (Nielsen, 2024).
  2. Islam : La charia interdit l’usure (riba) et privilégie l’équité, donnant naissance à un secteur financier islamique de 4 000 milliards de dollars (Reuters, 2025). Dans les pays à majorité musulmane, le marketing éthique évite l’alcool et les images provocatrices, comme le montrent les campagnes de Coca-Cola pendant le Ramadan, qui ont fait grimper les ventes de 20 % aux Émirats arabes unis (Euromonitor, 2024).
  3. Hindouisme : le dharma (devoir) et l’ahimsa (non-violence) sont les piliers des pratiques éthiques en Inde. La responsabilité sociale d’entreprise (RSE) du groupe Tata, axée sur la communauté et ancrée dans les valeurs hindoues, lui a valu un taux d’approbation de marque de 85 % en Inde (Kantar, 2024).
  4. Bouddhisme : La compassion et la pleine conscience inspirent des pratiques durables. En Thaïlande, 60 % des consommateurs privilégient les marques éco-responsables, ce qui a incité Unilever à adopter des emballages durables et à augmenter ses ventes de 12 % (Nielsen, 2024).
  5. Judaïsme : la Tsédaka (charité) influence la philanthropie. Goldman Sachs en Israël soutient les initiatives de la communauté juive, renforçant ainsi sa réputation auprès de 70 % des acteurs locaux (Forbes, 2023).

La spiritualité met souvent l’accent sur des valeurs universelles telles que l’intégrité, l’empathie et la détermination, ce qui séduit des publics variés. Par exemple, le leadership basé sur la pleine conscience, ancré dans la philosophie bouddhiste mais sécularisé, est adopté par 40 % des entreprises du Fortune 500 (par exemple, le programme « Search Inside Yourself » de Google), améliorant la productivité des employés de 20 % (Harvard Business Review, 2023).

Les marques spirituelles rencontrent un vif succès auprès des jeunes consommateurs. En 2024, 55 % de la génération Z mondiale citait les marques « à vocation » comme principaux moteurs d’achat, ce qui a incité des entreprises comme Patagonia à mettre l’accent sur la gestion environnementale, en accord avec les valeurs spirituelles d’interconnexion (Deloitte, 2025).

La spiritualité et la religion font partie intégrante des stratégies éthiques et opérationnelles des entreprises internationales. De la configuration des marchés de consommation (halal, casher, dépenses liées aux festivals) à l’orientation des pratiques de travail et de la RSE, ces forces créent à la fois des opportunités et des risques. Les entreprises qui intègrent l’éthique religieuse et spirituelle – par le biais d’offres locales, de formations culturelles et d’une image de marque axée sur les objectifs – renforcent la confiance et les parts de marché. Cependant, les erreurs peuvent entraîner des boycotts coûteux ou des sanctions réglementaires.

Les sources de l’éthique mondiale.

  1. La Déclaration universelle des droits de l’homme - Nations Unies (NU)
  2. La Déclaration du Caire sur les droits de l’homme en Islam - Organisation de la coopération islamique
  3. La Déclaration sur les principes fondamentaux et droits au travail (Organisation internationale du travail)
  4. La Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement

Swami Vivekananda hindouisme

La Déclaration vers une éthique mondiale.

Le Parlement des religions du monde, créé à Chicago (1993) (depuis 1893, discours de Swami Vivekananda disciple de Sri Ramakrishna). Il est dirigé par Hans Küng. Les représentants de toutes les religions du monde se sont mis d’accord sur les éléments de base d’une éthique mondiale :

  1. Le principe de l’humanité
  2. La règle d’or de la réciprocité
  3. Un engagement envers la non-violence, la justice, la véracité et au partenariat entre les hommes et les femmes

Exemple :
Hans Küng. Déclaration éthique mondiale : non-violence, tolérance

L’éthique mondiale :

  1. Ce n’est pas du prosélytisme
  2. Elle n’est pas fondée sur la supériorité d’une religion.
    « Aujourd’hui il n’existe pas d’être vivant qui ait suffisamment des connaissances pour dire avec sécurité si une religion est supérieure à toutes les autres. » Arnold Toynbee.
  3. Ce n’est pas une religion mondiale (comme Bahaï)
  4. Elle doit être ouverte aux agnostiques et aux athées
  5. L’éthique mondiale des affaires - est encore en phase de développement

« L’amour est la plus universelle, immense et mystique des forces cosmiques... L’amour est une sacrée réserve d’énergie ; c’est comme le sang de l’évolution spirituelle. » (l’esprit de la terre) Pierre Teilhard de Chardin.

Les faiblesses de l’éthique mondiale : les fondamentalistes de toutes les religions.

Le scénario pour notre recherche d’éthique globale : l’Inde.

Affaires et hindouisme, jaïnisme, sikhisme...

  1. L’Inde est le berceau de quatre religions supérieures : l’hindouisme, le jaïnisme, le bouddhisme et le sikhisme
  2. L’Inde, en particulier l’hindouisme, est l’un des pays plus tolérants avec les autres religions. L’Inde est aujourd’hui un «petit monde «sous le point de vue de la religion
  3. L’Inde est la troisième plus grande économie mondiale (derrière les États-Unis et la Chine) et l’un des pays du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud)
  4. L’Inde est la démocratie la plus grande du monde

Non à la corruption dans les affaires internationales

L'IA pour les affaires mondiales (Cours online)
Considérations éthiques et réglementaires dans l'IA mondiale

Le Directeur commercial international et l’éthique mondiale.

Éthique Nonell Berlin

Pedro Nonell, participant à la Conférence sur la « Diplomatie culturelle, commerce international et éthique mondiale » - « Les religions du monde comme sources de l’éthique mondiale » - Institut pour la diplomatie culturelle (Berlin - Allemagne).

Bhagavad Gita, Sri Ramakrishna et Swami Vivekananda.



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La connaissance conduit à l'unité comme l'ignorance mène à la diversité