Investissement direct à l'étranger (IDE)

Cette unité d’enseignement se compose de trois parties.

1- Introduction à l’investissement direct à l’étranger.

1. L’introduction à l’investissement direct étranger
   1. Étude de cas : l'investissement direct étranger de Toyota aux États-Unis
   2. Étude de cas : l'industrie minière et IDE axés sur les ressources en Afrique (le cas de Rio Tinto en Guinée)
2. Types d'IDE
   1. Investissements greenfield
   2. Fusions et acquisitions (F&A)
   3. Coentreprises et alliances stratégiques
3. La situation globale de L’investissement (IDE)
4. L’Organisation mondiale du commerce (OMC) et l’investissement direct à l’étranger
5. L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et l’investissement direct étranger
6. La politique de l’UE sur l’investissement direct étranger
7. L’Accord sur les mesures concernant les investissements liées au commerce
8. L’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA)
9. Appendices :
   1. L’indice de liberté économique
   2. Atlas des investissements

2- La Conférence sur le commerce et le développement et l’investissement (UNCTAD).

3- Les investissements à l’étranger.

L'IA pour les affaires mondiales

1. L'IA et le commerce mondial
2. L'IA dans la stratégie et la prise de décision mondiales
3. L'IA dans la gestion de la chaîne d'approvisionnement mondiale
4. Le commerce numérique transfrontalier

Le but principal de cette unité est de comprendre les concepts-clés de l’investissement direct à l’étranger (IDE) et sa situation globale.

Après avoir fini cette partie, l’étudiant connaitra :

1. Les différentes stratégies qui s’adaptent mieux à ce type d’investissements
2. Les formes légales d’implantation
3. Les problèmes qui peuvent surgir dans le processus d’implantation dans un pays en voie de développement

L’unité d’enseignement « L’investissement direct à l’étranger (IDE) » fait partie des programmes de l’EENI Global Business School :

Certificat en marketing mondial.

Master en affaires internationales.

Doctorat en commerce mondial.

Langues : ou Foreign Direct Investment (FDI) Inversión Extranjera Directa (IDE).

1. Crédits de l’UE « l’investissement direct à l’étranger » : 3 ECTS

L’investissement direct étranger (IDE).

Selon l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), l’investissement direct à l’étranger est :

«... quand un investisseur étranger qui réside dans un pays peut obtenir un intérêt durable et participe dans la gestion d’une entreprise dans un autre pays (propriété de 10 % ou plus des actions ou des droits de vote d’une entreprise) ».

L’investissement direct à l’étranger peut consister en :

1. Créer une nouvelle entreprise (investissement de création)
2. Acheter des actions d’une entreprise existante (les fusions et les acquisitions)
3. Le réinvestissement des bénéfices ou d’autres transferts en capital

Les manières de mesurer l’investissement direct à l’étranger :

1. Les flux et les stocks des investissements directs étrangers financiers (les statistiques de la balance des paiements -les flux- et de la position d’investissement international - les stocks-)
2. Les affaires réelles des filiales étrangères dans les pays d’accueil (enquêtes nationales compilées par l’OCDE)

L’investissement direct à l’étranger est une source de croissance économique et de développement durable.

L’IDE contraste avec l’investissement de portefeuille, où les investisseurs achètent des titres étrangers comme des actions ou des obligations uniquement pour des rendements financiers sans contrôle actif.

1. Influence de la religion sur les systèmes financiers

Toyota Motor Corporation, l'un des principaux constructeurs automobiles japonais, est l'une des plus grandes multinationales mondiales. Dans les années 1980 et 1990, Toyota a réalisé d'importants investissements étrangers directs (IED) aux États-Unis en y implantant des usines et des sièges régionaux. Cette étude de cas met en lumière les motivations, les impacts et les défis des IDE de Toyota aux États-Unis.

Située en Afrique de l’Ouest, la Guinée est l'un des pays les plus riches au monde en ressources minérales, notamment en bauxite, principal minerai utilisé pour la production d'aluminium. Le pays possède également d'importants gisements de fer, d'or et de diamants. Malgré ses richesses minérales, la Guinée reste économiquement sous-développée, et les investissements étrangers jouent un rôle crucial dans son secteur minier.

Rio Tinto, un groupe minier mondial de premier plan dont le siège social est situé au Royaume-Uni et en Australie, est un investisseur direct étranger majeur dans l'industrie de la bauxite en Guinée.

Le Comité de l’investissement de l’Organisation de coopération et de développement économiques est le responsable de la surveillance des principes directeurs qui font partie d’un outil d’investissement direct à l’étranger de l’Organisation de coopération et de développement économique plus large : « la Déclaration de l’OCDE et les Décisions sur les investissements directs étrangers et les sociétés multinationales ».

Les pays membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OECD) : l’Allemagne, l’Australie, l’Autriche, la Belgique, le Canada, le Chili, la Corée du Sud, le Danemark, l’Espagne, l’Estonie, les États-Unis, la Finlande, la France, la Grèce, la Hongrie, l’Islande, Israël, l’Irlande, l’Italie, le Japon, le Luxembourg, le Mexique, la Norvège, la Nouvelle-Zélande, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la Slovaquie, la République tchèque, le Royaume-Uni, la Slovénie, la Suède, la Suisse et la Turquie.