EENI École d'Affaires / Business School

Investissements à l’étranger. Risques expropriation



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Programme de l’unité d’enseignement (UE)

Délégations commerciales. Investissements directs étrangers IED / FDI

Marketing mondial: prix à l'exportation, distribution, promotion, IA
Marketing mondial
- Investissement direct (IDE) - Conférence sur le commerce et le développement

Les investissements à l'étranger désignent l'allocation de capitaux par des particuliers, des entreprises ou des gouvernements dans des actifs situés à l'étranger. Ces investissements transfrontaliers jouent un rôle crucial dans la mondialisation et favorisent l'intégration économique internationale.

  1. L’investissement direct à l’étranger (IDE)
  2. Les délégations commerciales
  3. L’établissement des sociétés à l’étranger :
    1. Les sociétés affiliées
    2. Les filiales
    3. Les coentreprises (Joint Ventures)
  4. L’optimisation des risques d’expropriation
  5. Le gouvernement corporatif
  6. Les investissements dans les pays en développement
  7. Le commerce numérique transfrontalier
  8. Étude de cas : la reconstruction d’une industrie dans l’ex-République soviétique

L'IA pour les affaires mondiales (Cours online)
L'IA pour les affaires mondiales

  1. L'IA et le commerce mondial
  2. L'IA dans la stratégie et la prise de décision mondiales
  3. L'IA dans la gestion de la chaîne d'approvisionnement mondiale

Étudiant africain doctorat / master FOAD en affaires internationales

L’unité d’enseignement « Les investissements à l’étranger » fait partie des programmes de l’EENI Global Business School :

Certificat en marketing mondial.

Certificat professionnel en marketing mondial et internationalisation

Master professionnel en affaires internationales.

Masters professionnels en commerce international et affaires, IA

Doctorat en commerce mondial.

Doctorat professionnel en affaires internationales (DIB Online, IA)

Langues : Formation affaires et commerce international en anglais (Online, IA) Foreign Direct Investment (FDI) Étudier en espagnol master commerce international, affaires, IA Inversión Extranjera Directa (IDE).


Types d'investissements à l'étranger :

Investissement direct étranger (IDE) :

Il s'agit d'acquérir une participation significative et durable – généralement définie comme la détention de 10 % ou plus du capital d'une entreprise étrangère – ou d'établir des activités commerciales à l'étranger, telles que des usines, des filiales ou des coentreprises. L'IDE confère généralement à l'investisseur le contrôle ou une influence substantielle sur la gestion de l'entreprise.

Investissement de portefeuille :

Ce type d'investissement consiste à acquérir des actifs financiers étrangers, tels que des actions, des obligations ou d'autres titres, sans obtenir le contrôle des sociétés émettrices. Les investissements de portefeuille sont généralement plus liquides que les IDE et visent principalement à générer des rendements financiers.

Autres investissements :

Cette catégorie comprend les prêts transfrontaliers, les crédits commerciaux, les dépôts bancaires et autres formes de créances ou de passifs financiers qui ne relèvent ni des IDE ni des investissements de portefeuille.

L’expansion internationale d’une entreprise exportatrice peut achever avec la création d’une ou de plusieurs délégations commerciales à l’extérieur, de sorte qu’on puisse obtenir un plus grand contrôle sur le marché de destination.

Le pas suivant, peut-être la production locale.

Les différentes formes légales existantes pour l’établissement commercial à l’extérieur, dépendront de chaque marché. En principe ces formes légales doivent garantir une présence solide locale, un contrôle des impôts et une protection pour les investisseurs.

Nous analyserons les trois formes les plus habituelles (du point de vue commercial) :

  1. Les filiales
  2. Les délégations
  3. Les Coentreprises

Il faudra d’effectuer une analyse rigoureuse des facteurs du risque qui peuvent affecter ce type d’investissements : les privatisations, le risque commercial et politique...

De plus, le bilan social d’une entreprise, exige un nouveau style de gestion fondé sur le gouvernement corporatif, qui permet de transformer les sociétés en moteurs de développement ainsi que d’encourager le bienêtre dans les lieux dans lesquels se développent ses activités.

Nous tendons à associer aux pays en voie de développement avec l’élimination de la pauvreté et de la souffrance. Cette image est renforcée par les moyens de communication qui nous informent des catastrophes de ces pays et présentent ses personnes comme les victimes des circonstances au-delà de leur contrôle. La réalité du monde en développement est plus variée et complexe.

En premier lieu, il faut avoir un soin avec les généralisations.

Par exemple, la situation dans les pays récemment industrialisés comme la Corée du Sud, la Malaisie, la Chine, le Mexique ou le Brésil est très différent de celle des pays moins développés comme le Bangladesh, le Sénégal, le Ghana, le Kenya, le Maroc, le Nicaragua, le Salvador ou le Pérou.

En outre, la situation du monde n’est pas statique, sinon extrêmement dynamique. Dans les décennies passées, les pays de l’Asie Sud-Orientale ont éprouvé un progrès considérable dans leur qualité de vie.

Le contexte socioculturel de chaque pays en développement a une importance vitale en ce qui concerne la commercialisation d’un produit ou d’un service et même dans un projet d’investissement direct. La religion, les traditions, l’histoire, les superstitions... Tout cela fait partie d’un système de valeurs : la culture.

Le processus pour obtenir des licences ou des autorisations pour s’établir dans un pays en développement peut-être long et coûteux. Le problème de la corruption peut apparaître en tout moment.

Les organismes internationaux comme l’UE, la Banque américaine de développement, la Banque africaine de développement ou le FMI, disposent d’importantes ressources financières pour aider à la reconstruction et le développement des économies et du secteur productif de ces pays. L’un des programmes d’aide se fonde sur des projets du transfert de « savoir-faire » envers ces pays.

La situation des ex-républiques soviétiques. Analysant la situation actuelle de la fédération de Russie nous pourrons découvrir une série d’aspects que nous ne pourrions pas déterminer avec une simple analyse des nouvelles dont nous disposons. À partir de là, on analysera le cas de la reconstruction d’une industrie dans une ex-république soviétique.

Étude de cas : « En créant une entreprise aux États-Unis ». En une entreprise exportatrice travaillent plus de 150 travailleurs ; elle produit et commercialise des statues de bronze avec des supports en marbre. Le dessin est exclusif. Les productions sont relativement élevées.

Dans ce cas on analysera les onze décisions prises par le Conseil d’administration relatives à leur implantation aux États-Unis.

Exemple : les investissements à l’étranger :
Investissements à l'étranger




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