AGOA Loi croissance opportunités (États-Unis)La Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique (AGOA) Sénégal, Cameroun, Burkina
Exemple : l’Afrique et les États-Unis (AGOA) Les objectifs de l’UE « La Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique (AGOA) » sont :
L’UE « La Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique (AGOA) » fait partie des programmes FOAD proposés par l’EENI Global Business School : Master en affaires en Afrique. Doctorat en affaires africains. Cours : relations internationales africaines. Langues : ou African Growth and Opportunity Act (AGOA) Lei de Crescimento e Oportunidades para a África (AGOA) Ley de Crecimiento y Oportunidad en África (AGOA).
La Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique (AGOA), promulguée en mai 2000 par les États-Unis, est une initiative qu’il faut saluer à sa juste valeur, en ce qu’elle offre à quarante pays d’Afrique subsaharienne l’opportunité d’exporter vers les États-Unis, sans droits douaniers ni contingents, une gamme variée de produits d’exportation. La Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique (AGOA) marque la volonté des États-Unis d’œuvrer à la croissance des pays de l’Afrique, côtoient sur le terrain, un certain nombre d’initiatives endogènes ou mixtes, nationales ou régionales, qu’il lui faut prendre en compte pour être opérationnelle et ainsi atteindre leurs objectifs. Les pays éligibles AGOA V (Loi sur la croissance et les opportunités en Afrique) : L’Afrique du Sud, l’Angola, le Bénin, le Botswana, le Burkina Faso, le Burundi, le Cameroun, le Cap-Vert, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, la République du Congo, la République démocratique du Congo, Djibouti, l’Éthiopie, le Gabon, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Kenya, le Lesotho, le Libéria, Madagascar, le Malawi, le Mali, l’Île Maurice, la Mauritanie, le Mozambique, la Namibie, le Niger, le Nigeria, le Rwanda, Sao Tomé-et-Principe, le Sénégal, les Seychelles, la Sierra Leone, le Soudan du Sud, l’Eswatini, la Tanzanie, le Togo, l’Ouganda, la Zambie. Les pays non éligibles pour l’AGOA sont le Zimbabwe et le Soudan, mais le Soudan du Sud a depuis obtenu le statut de bénéficiaire. Pour le premier trimestre de 2014, les échanges commerciaux totaux des États-Unis (exportations plus importations) avec l’Afrique subsaharienne (ASS) ont totalisé 11,9 milliards de dollars, soit une baisse de 27 pour cent par rapport à la même période en 2013. Les traités bilatéraux d’investissement des États-Unis : le Rwanda, le Mozambique, la République du Congo, la RD Congo et le Cameroun. Les accords-cadres du commerce et d’investissement (TIFA) : l’Angola, le Ghana, le Libéria, l’Île Maurice, le Mozambique, le Nigeria, le Rwanda et l’Afrique du Sud, le Marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA), la Communauté est-africaine et de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). Diverses modifications des termes et des conditions de la législation AGOA originaux ont été adoptées par le Congrès des États-Unis depuis sa création. Celles-ci ont inclus diverses modifications techniques ainsi que des extensions à la portée et la durée de validité de la loi et en particulier les dispositions de l’habillement :
Ces initiatives sont nombreuses, mais l’une des plus importantes est l’Agence de développement de l’Union Africaine. Il convient donc d’attirer l’attention des promoteurs et des acteurs de la Loi sur la croissance et les opportunités en Afrique sur ce vaste programme qui, sur bien des aspects, prend en charge les préoccupations de croissance économique, de promotion du secteur privé, de bonne gouvernance politique, économique et des entreprises et de la participation de la société civile formulée par la Loi sur la croissance et les opportunités en Afrique. Le commerce international parmi les États-Unis et l’Afrique subsaharienne a augmenté 115 % depuis la promulgation, en 2000, de la Loi sur la croissance et les opportunités économiques en Afrique, selon un rapport remis au Congrès des États-Unis. Le rapport général sur la politique commerciale et des investissements directs étrangers des États-Unis en Afrique subsaharienne et sur la mise en œuvre de la Loi sur la croissance et les opportunités économiques décrit une large gamme de programmes mis en place pour les États-Unis pour aider aux pays de l’Afrique à stimuler leur croissance et leur développement économique. Il offre un survol des relations de commerce international et financières des États-Unis avec les pays d’Afrique subsaharienne, décrit les divers programmes mis en œuvre à l’appui des objectifs de la Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique et résume l’évolution des pays d’Afrique subsaharienne engendrée par les critères à respecter pour profiter de la Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique. AGOA appartient à la civilisation africaine et à la civilisation occidentale espace économique nord-américain. AGOA- Critères d’admissibilité des pays (c) EENI Global Business School 1995-2024
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