TIC, commerce intra-africain et intégrationTechnologies de l’information, commerce et intégration en AfriqueL’utilisation intensive des TIC peut réduire les couts d’exportation et logistiques du commerce intra-africain, en particulier pour les pays en développement enclavés d’Afrique et peut aussi réduire la corruption. Toutes les parties qui participent à la chaine de valeur de l’Afrique (gouvernements, agences, importateurs, exportateurs, agences des douanes, les sociétés de logistique, banques...) peuvent se profiter des avantages des TIC appliqués au commerce intra-africain. Selon AT Kearney, en Afrique au Sud du Sahara, il y avait 650 millions d’utilisateurs mobiles, la soi-disant « révolution mobile de l’Afrique ». La Banque africaine de développement estime que les TIC contribuent pour environ 7 % du PIB africain.
Les buts de l’unité d’enseignement « Technologies de l’information, commerce et intégration en Afrique » sont :
L’unité d’enseignement « TIC - Commerce et l’intégration régionale en Afrique » fait partie des programmes de l’EENI Global Business School : Intégration régionale en Afrique Master en affaires en Afrique, transport en Afrique. Doctorat en affaires africains. Langues : Les TIC, le commerce et l’intégration régionale en Afrique
Au Nigeria, nous pouvons observer un boom du commerce électronique. Plusieurs sites de vente en ligne nigérians (DealDey, Konga, Jumia) mènent des initiatives d’e-commerce en Afrique de l’Ouest. Les ventes de l’e-commerce sont doublées l’année dernière (environ 382 millions de dollars), générant plus de 6 millions d’emplois. La CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest), la SADC (Communauté de développement d’Afrique australe) et l’EAC (Communauté est-africaine) développent d’importants projets de TIC liés au commerce intrarégional. Exemple : les TIC, le commerce et l’intégration régionale en Afrique : Portail affaires africains de l’EENI. (c) EENI Global Business School 1995-2025
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