Éthique bouddhiste. Quatre nobles véritésNoble sentier octuple du bouddhisme. Règle d’or bouddhiste
Exemple : les principes de l’éthique bouddhiste L’UE « Les principes de l’éthique bouddhiste » fait partie des programmes FOAD proposés par l’EENI Global Business School : Cours : Bouddhisme, éthique et affaires. Doctorat : éthique mondiale, religions et affaires. Master en religions et affaires, affaires internationales.
Langues : Buddhist Ethics Ética Budista. Pourquoi étudier « Bouddhisme et affaires » ? Bouddhisme : Mahayana et theravada, Bouddhisme dans le monde, Économie bouddhiste. Les principes de l’éthique bouddhiste. Après son illumination divine, Bouddha se rendit à Bénarès (Vârânasî), la ville sainte de l’Inde et dans le Parc des cerfs en banlieue de la ville, il a prononcé son premier sermon : les quatre nobles vérités, qui seront les piliers du bouddhisme. Ces quatre nobles vérités sont les suivants :
La souffrance doit se comprendre comme « la douleur, qui à quelque niveau, anime toute existence finie » (Huston Smith). « Dukkha est la grande maladie du monde qu’on soigne par la doctrine (Dharma) du Bouddha ». Alan Watts. « Oh moines, voici la noble vérité sur l’origine de la souffrance. L’ignorance, le désir attachement et les cinq poisons sont ceux qui produisent de nouvelles renaissances, ceux qui conduisent vers le plaisir et cherchent la satisfaction ici et là, nous décourageant de ne pas réussir ce que nous voulions. C’est le désir de l’existence, le désir de la non-existence. » Bouddha. Plus nous attachons aux choses, plus les problèmes surgiront, c’est un concept similaire à celui que nous pouvons trouver dans l’hindouisme ou dans le taoïsme. L’ignorance, l’haine, le souhait, l’attachement sont aussi des causes de la douleur. La quatrième vérité, le noble chemin octuple, nous indique le chemin pour surpasser le désir, éliminer la souffrance et enfin obtenir le nirvana. Bouddha nous donne quelques directives pour suivre une conduite appropriée, ce sont les cinq préceptes qui forment les piliers de l’éthique bouddhiste.
Les cinq préceptes antérieurs, sont la base de l’éthique bouddhiste pour les laïcs, ces principes sont partagés par toutes les religions d’une manière ou d’une autre. Ce sont des fenêtres ouvertes. Les moines bouddhistes (hommes ou femmes) doivent d’accomplir en plus autres 200 normes (vinaya). Une version de la règle d’or bouddhiste. En l’Udana V (« Le vénérable Sona), dans le chapitre 1 « Ce qu’on veut le plus » nous trouvons la règle d’or appliquée au bouddhisme : « En parcourant toutes les régions avec l’esprit je n’ai pas trouvé dans aucun lieu rien de plus aimé que soi-même. Les autres s’aiment eux mêmes de la même manière. Pour cette raison, ne fais pas de mal à autrui par amour pour toi » Exemple (c) EENI Global Business School 1995-2024
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