Affaires en République centrafricaine, Bangui

1. L’introduction à la République centrafricaine (Afrique centrale)
2. L’économie centrafricaine
3. Le commerce international centrafricain
4. Étude de cas :
   1. Les télécommunications en République centrafricaine
   2. Le groupe Kamach
5. L’accès au marché centrafricain
6. Le transport et la logistique
7. Le plan d’affaires pour la République Centrafricaine

Les buts de l’unité d’enseignement « Commerce international, logistique et affaires en République centrafricaine » sont :

1. Apprendre à faire des affaires en République centrafricaine
2. Rechercher les opportunités d’affaires en République centrafricaine
3. Connaitre la logistique et les accords commerciaux de la République centrafricaine
4. Analyser les relations commerciales de la République centrafricaine avec le pays de l’étudiant
5. Rédiger un plan d'affaires pour le marché centrafricain
6. Étudier le profil des sociétés centrafricaines

L’unité d’enseignement « Commerce international, logistique et affaires en République centrafricaine » fait partie des programmes de l’EENI Global Business School :

Doctorat en affaires africains.

Master en affaires en Afrique, affaires internationales.

Masters adaptés aux étudiants centrafricains.

Langues : ou Central Africa República Centroafricana República Centroafricana.

1. Crédits de l’UE « Affaires en République centrafricaine » : 1 ECTS

Le transport et la logistique en République centrafricaine

1. Les corridors logistiques transafricains :
   1. Le corridor de transport Tripoli-Windhoek
   2. Le corridor logistique Lagos-Mombasa
2. Les ports les plus proches :
   1. Le port de Douala (Cameroun) à 1 500 kilomètres : le principal port de commerce de la République centrafricaine (Corridor Lagos-Mombasa)
   2. Le port de Pointe-Noire (Congo) - par chemin de fer Congo-Océan et par voie navigable

L’accès préférentiel et les accords de la République centrafricaine.

1. La République centrafricaine et l’espace économique d’Afrique centrale
2. La Communauté Économique et Monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC)
3. La Communauté Économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC)
4. La Communauté des États sahélo-sahariens (CEN-SAD)
5. La zone de libre-échange continentale africaine
6. République centrafricaine-Union européenne
   1. Le Système de préférences généralisées (SPG)
   2. Le Partenariat stratégique Afrique-Union européenne
7. La Conférence des Grands Lacs
8. La Banque des États de l’Afrique centrale
9. L’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA)
   1. L’Acte uniforme relatif au droit du transport de marchandises par route

1. L’Organisation mondiale du commerce (OMC)
   1. L’Accord général sur le commerce des services
   2. L’Accord sur les obstacles techniques au commerce
   3. L’Accord sur l’application des mesures sanitaires
   4. L’Accord sur l’inspection avant expédition
   5. L’Accord sur les sauvegardes
   6. L’Accord sur la facilitation des échanges
2. Le Bureau des Containers et du Transport Intermodal
3. La Convention de Chicago
4. L’Organisation mondiale des douanes (OMD)
   1. La Convention de Kyoto
5. L’Organisation maritime internationale (OMI)
   1. La Convention d’Istanbul (non membre)
   2. La Convention douanière relative aux conteneurs (non membre)
6. Les Règles de Rotterdam (non membre)

1. La Banque africaine de développement
2. La Commission économique pour l’Afrique
3. L’AUDA-NEPAD
4. L’Union africaine
   1. La Convention lutte contre la corruption (UA)
5. La Coopération sino-africaine
6. Le Partenariat Corée du Sud-Afrique
7. Le Partenariat Japon-Afrique
8. Le Sommet Afrique-Amérique du Sud
9. La Coopération afro-arabe
10. La Banque BADEA
11. L’Afrique et les pays du BRICS
12. La Coopération Afrique-Inde
13. Le Partenariat Asie-Afrique
14. Le Partenariat Afrique-Turquie

1. L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF)
2. La Banque mondiale
3. Les Nations Unies
   1. Le Centre du commerce international
   2. La Conférence sur le commerce et le développement
   3. L’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI)
4. Le Fonds monétaire international (FMI)

1. Les incalculables contraintes au développement économique de la République centrafricaine (Afrique) sont essentiellement liées à sa superficie très vaste (623 000 kilomètres²) et peu peuplé (5 100 000 habitants, six habitants par kilomètres²)
2. La pauvreté est un phénomène réel en République centrafricaine : 67 % de la population centrafricaine vive en dessous du seuil de pauvreté
3. Les pays voisins de la République centrafricaine : le Soudan, le Soudan du Sud, le Tchad, le Cameroun, la République du Congo et la République démocratique du Congo
4. Les villes de la République centrafricaine : Bangui (623 000 habitants, capitale), Bimbo, Mbaiki (Lobaye), Berbérati (Mambéré-Kadéï), Bouar...
5. Les langues officielles de la République centrafricaine : le français et le sango
6. La population centrafricaine : 5,1 millions d’habitants
7. La pauvreté : 67 % de la population centrafricaine
8. L’indépendance centrafricaine : 1960 (France)

Plus d’informations sur la République centrafricaine au Portail d’affaires africains de l’EENI.

Les religions en République centrafricaine :

1. Le christianisme
   1. Le protestantisme (51 %)
   2. Le catholicisme (29 %)
2. Les religions traditionnelles africaines
3. L’islam (10 %)

La République centrafricaine appartient à l’espace économique d’Afrique centrale de la civilisation africaine.

L’économie centrafricaine :

1. La monnaie centrafricaine : le Franc CFA (XAF)
2. La région du nord-ouest et le centre de la République centrafricaine représentent un bassin agricole notable pour les cultures de coton et de canne à sucre
3. L’exploitation forestière en République centrafricaine contribue largement au PIB, avec d’importantes ressources en bois tropicaux
4. L’activité minière (or et diamants) représente l’autre ressource importante de la République centrafricaine en matière de recettes d’exportation : la production officielle, surtout artisanale, de diamants de joaillerie était de 500 000 carats annuels

Le tissu industriel centrafricain est presque inexistant et n’a pas été développé par rapport aux pays voisins (Cameroun), il a aussi souffert de problèmes militaires.

1. Grave crise politique : cadre de transition (président autoproclamé)
2. Le secteur centrafricain le plus dynamique : les nouvelles technologies d’information
3. Le potentiel minier : les diamants, l’or, l’uranium, le fer, le pétrole...

Le groupe Kamach est en pleine expansion, fondé sur une gestion rigoureuse et une stratégie de partenariat et d’échanges. Le développement du groupe KAMACH se construit surtout sur les métiers de la distribution en biens d’équipements électriques et l’exploitation forestière.

Exemple : le commerce extérieur centrafricain :