Affaires en Arménie. Économie arménienne, ErevanCommerce international arménien, logistique, profil économique, régions arméniennes
Les objectifs de l’UE « Commerce international, logistique et affaires en Arménie » sont :
L’UE « Commerce international, logistique et affaires en Arménie » fait partie des programmes FOAD proposés par l’EENI Global Business School : Master en affaires internationales, commerce international.
Le commerce global, le transport et les affaires Arménie.
Les accords et l’accès préférentiel de l’Arménie :
Les organisations mondiales :
La principale religion de l’Arménie est le christianisme (Église apostolique arménienne, Église orthodoxe). L’Arménie appartient à l’espace économique orthodoxe. L’économie arménienne et le commerce international arménien.
L’agriculture : 18 % du PIB arménien et emploie 45 % de la population active.
Exemple : Le secteur industriel arménien contribue à 33 % du PIB et emploie 15 % de la population. L’Arménie dispose de gisements de cuivre, molybdène, bauxite, zinc, plomb, fer, or et mercure, qui sert de base au secteur de l’industrie chimique et sont les piliers de ses exportations. Le taux de croissance de la production industrielle a chuté de 12 %. Les produits miniers constituent 40 % des exportations arméniennes, le textile jouant un grand rôle dans ce secteur. Le secteur tertiaire arménien : 50 % du PIB. Les nouveaux secteurs tels que la technologie d’information et de communication, la bijouterie et même le tourisme commencent à compléter les secteurs traditionnels (agriculture et textile). L’Arménie dépend de ses voisins (spécialement de la Russie) pour ses besoins énergétiques (le pétrole et le gaz). L’hydroélectricité est bien développée en Arménie, au point que l’Arménie en exporte. La joaillerie et la taille des diamants est reconnue comme un domaine stable. Malgré un taux de croissance de plus de 13 % stimulé par la demande intérieure et l’aide extérieure en provenance d’une diaspora influente, l’économie arménienne continuait cependant de souffrir de l’enclavement de l’Arménie, de la faiblesse de ses ressources naturelles, de l’obsolescence de son appareil industriel ainsi que de la persistance d’un haut niveau de corruption (l’Arménie figurait au 109e rang du classement créé par Transparence Internationale) et d’une faiblesse structurelle du système bancaire obérant les investissements directs étrangers. La collecte des impôts demeure un problème ; l’économie parallèle représentait un 45 % du PIB. La baisse des cours mondiaux des matières premières et l’entrée en récession des principaux marchés de l’Arménie (la Russie, l’UE) on provoquait un effondrement des exportations. Parallèlement, les investissements étrangers, dont 75 % viennent de la Russie, sont taris et pourraient chuter un 50 %. L’Agence de développement arménienne fut créée en 1998 par le gouvernement de la République d’Arménie pour faciliter les investissements directs étrangers et pour promouvoir les exportations. L’Arménie a conclu des accords avec la Biélorussie, la Géorgie, la Moldavie, le Kazakhstan, la Russie, l’Ukraine, l’Ouzbékistan, le Tadjikistan, le Turkménistan et la République kirghize. L’Arménie est en train d’explorer la possibilité d’améliorer ses relations économiques avec l’Iran. L’Arménie, avec l’Albanie, l’Azerbaïdjan, la Bulgarie, la Géorgie, la Grèce, la Moldavie, la Roumanie, la Russie, la Serbie, la Turquie et l’Ukraine, sont membres de l’Organisation de la Coopération économique de la mer Noire. L’Arménie est membre de la CEI. Les relations de l’UE avec l’Arménie sont gérées par l’accord d’association et de coopération UE-Arménie, signé en 1996, et entré en vigueur en 1999. L’Arménie adhère à la politique européenne de voisinage depuis 2004. Le plan d’action de la politique européenne de voisinage a été examiné par l’Union européenne et le gouvernement arménien avant d’être adopté le 14 novembre 2006. (c) EENI Global Business School 1995-2024
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