Catholicisme et affairesLe catholicisme (Christianisme) : l’éthique et les affairesL’unité d’enseignement « Le catholicisme, l’éthique et les affaires » proposé par l’EENI Global Business School se compose de six parties : 1- Introduction au catholicisme.
2- Le catholicisme dans le monde. 3- Le catholicisme et la civilisation occidentale.
4- Les chefs spirituels catholiques. 5- Les hommes et les femmes d’affaires catholiques :
6- Intellectuels et personnalités catholiques :
Les objectifs de l’UE « Le catholicisme : l’éthique et les affaires » sont :
L’UE « Le catholicisme : l’éthique et les affaires » fait partie des programmes FOAD proposés par l’EENI Global Business School : Doctorat : éthique, religions et affaires, affaires africains. Cours : christianisme et affaires. Masters : religions et affaires, affaires internationales, affaires en Afrique. Langues : Le catholicisme : l’éthique et les affaires. Le christianisme est la religion la plus « mondialisée » (en grec « catholique » signifie «universel»), avec environ 2 300 millions de fidèles dans le monde suivi de l’islam avec 1 977 millions et par l’hindouisme. C’est-à-dire, un tiers de l’humanité est chrétien. Environ la moitié des chrétiens sont catholiques (1 200 millions). On estime que 50 % de toute la chrétienté est catholique, 37 % de protestants et 12 % orthodoxes. Les autres traditions chrétiennes (Mormons, témoins de Jéhovah...) représentent 1 % de toute la chrétienté. Le catholicisme romain, fondé à Rome est majoritaire en Europe centrale et du Sud, en Irlande et en Amérique du Sud. Le nombre de catholiques :
Du point de vue organisationnel, s’il y a quelque chose qui peut définir le catholicisme c’est l’Église catholique et la figure du Pape. Jésus est venu sur terre pour montrer le chemin de la Salvation, par conséquent, ces enseignements appris, il y a vingt siècles, doivent être disponibles pour les générations futures. Cela est possible grâce à la Bible. Mais il faudra interpréter la Bible. Et la seule entité qui peut interpréter les enseignements de la Bible est l’Église catholique. Ce concept de l’Église comme la seule autorité d’interprétation est fondamental pour le catholicisme. L’infaillibilité pontificale. Dérivé de ce principe, il y a le dogme de l’infaillibilité pontificale. Le Pape de Rome, comme le successeur de Saint-Pierre est la plus haute autorité du catholicisme, lorsqu’il se prononce de manière publique sur un sujet lié à la foi ou à la morale (« définition Pontificale solennelle »), Dieu, par l’Esprit-Saint le protège contre tout type d’erreur. En matière de foi, le Pape ne peut se tromper. Cette « définition du pape »n’est pas discutable. En tout cas, aujourd’hui, dans très rares occasions le Pape a utilisé ce privilège et c’est presque toujours par consensus. Un catholique doit accepter ce principe. L’Église catholique maintient l’exclusivité des enseignements de Jésus et définit également la façon dont l’Église catholique doit se comporter, l’Église enseigne aux catholiques comment ils devraient vivre correctement en suivant les enseignements de Jésus. L’Église, comme représentant terrestre de Dieu est l’institution qui monopolise les enseignements à travers les sacrements. Les catholiques, les orthodoxes et les coptes partagent les mêmes sept sacrements. Le sacrement catholique principal est la Sainte eucharistie, la Messe. Pour un catholique, la messe représente symboliquement la dernière Cène du Christ, où il a offert le pain et le vin à ses disciples. Un fait curieux du catholicisme est que sa plus haute autorité, le Pape de Rome est également un chef d’État. C’est la seule Église au monde qui dispose également d’un pays : l’État de la Ville du Vatican, le plus petit État indépendant au monde, aussi bien en population (800 habitants)
qu’en dimension. Aucune autre religion n’a un «État Central ». (c) EENI Global Business School 1995-2023 |