Cours (programme professionnel) « Non à la corruption dans le commerce international » (4 ECTS,
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Le Cours (programme professionnel) « Non à la corruption dans le commerce international » fait partie des programmes FOAD Online proposés par l’EENI Global Business School (École d’Affaires) :
Un étudiant qui a réussi ses examens dans cette formation peut les faire valider et s’inscrire dans un autre cours, master ou doctorat de l’EENI Global Business School Titre Le cours contient des exercices qui sont évalués par les enseignants afin d’obtenir leur diplôme du Cours (programme professionnel) « Non à la corruption dans le commerce international » émis par l’EENI Global Business School (École d’Affaires) de l’Espagne (Union européenne). Vidéo (transcription) : présentation de l’EENI Global Business School (École d’Affaires). Vidéo :Vidéo (transcription) : Méthodologie de formation ouverte à distance (FOAD Online). Vidéo :Vidéo (transcription) : Cours et diplômes de commerce international (FOAD) |
« N’est pas possible de couper la corruption seulement avec des instruments légaux, mais elle doit être complétée par des forts principes éthiques. » Pedro Nonell (directeur de l’EENI).
Exemple du cours - Non à la corruption dans les affaires internationales
Notre Engagement envers la société. Programme : « La lutte contre la corruption dans les affaires internationales ». Éthique, affaires et religion.
Pourquoi lutter contre la corruption ?.
Description du cours
La corruption est l’un des plus grands problèmes de notre société, elle affecte autant au secteur public que le privé, ses effets sont dévastateurs : elle peut renverser un pays, créer une distorsion de marché, financer des guerres, limiter l’aide au développement, affaiblir une démocratie et les droits de l’homme, limiter les investissements, encourager le crime organisé...
« La corruption est évitable. Elle naît de la cupidité et du triomphe d’une minorité antidémocratique sur les espoirs de la majorité. La corruption nuit à la démocratie et à l’État de droit. Elle entraine des violations des droits de l’homme. Elle mine la confiance du public envers le gouvernement. Elle peut même tuer » Ban Ki-Moon Secrétaire général des Nations Unies.
Selon les estimations de la Banque mondiale (BM), les pays qui luttent effectivement contre la corruption, peuvent arriver jusqu’à quadrupler leurs revenus nationaux, les affaires se développeraient plus rapidement (jusqu’à 3 %) et la mortalité infantile descendrait de 75 %.
Chaque année l’Union européenne perd 1 % de son PIB (environ 120 000 millions d’euros) à cause des effets de la corruption.
La corruption est implicite avec la civilisation, mais dans cette phase de mondialisation et de numérisation de l’économie, au lieu d’être capable de trouver les moyens et les mécanismes pour la détruire, la corruption n’a pas cessé de croitre. Ils existent beaucoup d’initiatives pour lutter contre la corruption : les Nations Unies (NU), OECD, l’Union européenne (UE), l’Union africaine... Toutes ces institutions sont en train de développer des codes éthiques qui visent à pallier la corruption. Mais la réalité est que malgré ces mécanismes, presque tous volontaires, la corruption n’a pu être éliminée.
Le développement de ce type de code est nécessaire mais pas suffisant.
L’éthique et les instruments légaux seront, sans aucun doute, les piliers qui nous permettent d’éradiquer la corruption.
Selon le Baromètre global de la corruption de Transparence Internationale, 90 % des sondés se disent prêts à agir contre la corruption.
N’importe quel citoyen ou dirigeant, d’une manière ou d’une autre, se trouvera un jour confronté à la corruption. Les principes éthiques de l’entreprise, si celle-ci les a correctement mis en œuvre, sa conviction personnelle et ses principes seront les deux facteurs qui l’aideront à prendre sa décision, face à la corruption, « oublier » ce problème ou le dénoncer.
En Afrique, Mohammed Ibrahim et Strive Masiyiwa sont des personnes qui plus luttent contre la corruption.
Cours recommandé pour tous les étudiants africains francophones : l’Algérie, le Bénin, le Burkina Faso, le Burundi, le Cameroun, la République centrafricaine, les Comores, la République démocratique du Congo, la République du Congo, la Côte d’Ivoire, Djibouti, le Gabon, la Guinée, Madagascar, le Mali, le Maroc, Maurice, la Mauritanie, le Niger, le Rwanda, le Sénégal, les Seychelles, le Tchad, le Togo et la Tunisie.
Adhésion de l’EENI au Pacte mondial des Nations unies.
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