Non à la corruption dans les affairesCours « Non à la corruption dans les affaires internationales » (4 ECTS, )Les unités d’enseignement du Cours « Non à la corruption dans le commerce international » proposé par l’EENI Global Business School :
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Cours gratuit pour les anciens étudiants du master et diplômes EENI. Dans le cadre de notre engagement dans la lutte contre la corruption, tous nos anciens étudiants (Masters, Doctorats et Diplômes) peuvent étudier ce cours sans frais - gratuit- (mais sans le droit d’examen ou d’obtention du diplôme du cours). Langues : + Corruption Corrupción Não à corrupção. Le candidat accède librement au cours dans ces langues (formation multilingue).
Les objectifs du cours « Non à la corruption dans les affaires internationales » proposé par l’EENI Global Business School, sont les suivants :
Adressé à toutes les personnes liées au commerce international et les affaires en général, ainsi que les institutions publiques et privées, qui veulent éradiquer la corruption dans les affaires internationales. Le cours contient des exercices qui sont évalués par les enseignants afin d’obtenir leur diplôme du cours « Non à la corruption dans les affaires internationales » émis par l’EENI Global Business School. Un étudiant qui a réussi ses examens dans cette formation peut les faire valider et s’inscrire dans un autre cours, master ou doctorat de l’EENI. Le cours fait partie des programmes proposés par l’EENI : Master en affaires en Afrique, affaires internationales, commerce international. Doctorat en affaires africains, commerce mondial, éthique, religions et affaires. Diplômes : commerce international. Notre Engagement envers la société. Programme : « La lutte contre la corruption dans les affaires internationales ». Éthique, affaires et religion. « N’est pas possible de couper la corruption seulement avec des instruments légaux, mais elle doit être complétée par des forts principes éthiques. » Pedro Nonell (directeur de l’EENI). « La corruption est évitable. Elle naît de la cupidité et du triomphe d’une minorité antidémocratique sur les espoirs de la majorité. La corruption nuit à la démocratie et à l’État de droit. Elle entraine des violations des droits de l’homme. Elle mine la confiance du public envers le gouvernement. Elle peut même tuer » Ban Ki-Moon Secrétaire général des Nations Unies. Pourquoi lutter contre la corruption ?.
La corruption est l’un des plus grands problèmes de notre société, elle affecte autant au secteur public que le privé, ses effets sont dévastateurs : elle peut renverser un pays, créer une distorsion de marché, financer des guerres, limiter l’aide au développement, affaiblir une démocratie et les droits de l’homme, limiter les investissements, encourager le crime organisé...
Selon les estimations de la BM, les pays qui luttent effectivement contre la corruption, peuvent arriver jusqu’à quadrupler leurs revenus nationaux, les affaires se développeraient plus rapidement (jusqu’à 3 %) et la mortalité infantile descendrait de 75 %. Chaque année l’Union européenne perd 1 % de son PIB (environ 120 000 millions d’euros) à cause des effets de la corruption.
La corruption est implicite avec la civilisation, mais dans cette phase de mondialisation et de numérisation de l’économie, au lieu d’être capable de trouver les moyens et les mécanismes pour la détruire, la corruption n’a pas cessé de croitre. Ils existent beaucoup d’initiatives pour lutter contre la corruption : les Nations Unies (NU), OECD, l’UE, l’Union africaine... Toutes ces institutions sont en train de développer des codes éthiques qui visent à pallier la corruption. Mais la réalité est que malgré ces mécanismes, presque tous volontaires, la corruption n’a pu être éliminée. Le développement de ce type de code est nécessaire mais pas suffisant. L’éthique et les instruments légaux seront, sans aucun doute, les piliers qui nous permettent d’éradiquer la corruption. Selon le Baromètre global de la corruption de Transparence Internationale, 90 % des sondés se disent prêts à agir contre la corruption. N’importe quel citoyen ou dirigeant, d’une manière ou d’une autre, se trouvera un jour confronté à la corruption. Les principes éthiques de l’entreprise, si celle-ci les a correctement mis en œuvre, sa conviction personnelle et ses principes seront les deux facteurs qui l’aideront à prendre sa décision, face à la corruption, « oublier » ce problème ou le dénoncer. En Afrique, Mohammed Ibrahim et Strive Masiyiwa sont des personnes qui plus luttent contre la corruption. (c) EENI Global Business School 1995-2024
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