Programme de l’unité d’enseignement (UE) : le commerce international et les affaires en Nouvelle-Zélande,
Auckland.
L’introduction à la Nouvelle-Zélande (Océanie) ;
Les affaires à Wellington et à Auckland ;
L’économie néo-zélandaise ;
Le commerce international néo-zélandais ;
Les investissements directs étrangers (IDE) en Nouvelle-Zélande ;
Les opportunités d’affaires en Nouvelle-Zélande :
Les technologies de l’information (TI) ;
Les infrastructures ;
Les industries agricoles ;
Les manufactures...
Étude de cas : Fonterra ;
L’accès au marché néo-zélandais ;
Le plan d’affaires pour la Nouvelle-Zélande.
Les objectifs de l’UE « Le commerce international et les affaires en Nouvelle-Zélande » sont les suivants :
Apprendre à faire des affaires en Nouvelle-Zélande ;
Évaluer les opportunités d’affaires en Nouvelle-Zélande ;
Connaitre les accords de libre-échange de la Nouvelle-Zélande ;
Analyser les relations commerciales (importations, exportations, IDE) de la Nouvelle-Zélande avec le pays de l’étudiant ;
Apprendre à élaborer un plan d’affaires pour le marché néo-zélandais.
L’UE « Commerce international et affaires en Nouvelle-Zélande » fait partie des programmes FOAD Online proposés par l’EENI Global Business School (École d’Affaires) :
La Convention douanière relative à l’admission temporaire (Convention d’Istanbul) (non membre).
Les organisations commerciales et économiques asiatiques :
La Commission économique et sociale pour l’Asie et le Pacifique (CESAP) ;
La Banque asiatique de développement (BAD) ;
Le Plan de Colombo ;
Le Nouveau partenariat stratégique Asie-Afrique ;
Le Dialogue Asie-Europe (ASEM) ;
Le Forum de coopération Amérique latine-Asie de l’Est (FEALAC) ;
Le Forum de Boao pour l’Asie.
Les organisations mondiales :
La Banque mondiale (BM) ;
Les Nations Unies (NU)
Le Centre du commerce international (CCI INTRACEN) ;
La Conférence sur le commerce et le développement (CNUCED) ;
L’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI).
Le Fonds monétaire international (FMI) ;
Le Conseil de coopération économique du Pacifique (PEEC) ;
La Commonwealth ;
L’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE).
La Nouvelle-Zélande est un pays insulaire du Pacifique sud-ouest. Elle comprend
le Nord et les îles du Sud ;
La capitale néo-zélandaise est Wellington ;
La plus grande ville et le principal port est Auckland ;
L’anglais, le maori et la langue de signaux néo-zélandais sont reconnus comme des langues officielles ;
La Nouvelle-Zélande a une population diverse, interculturelle de plus de 4 millions d’habitants ;
La superficie néo-zélandaise : 268 680 kilomètres carrés ;
Langue : l'anglais ;
La Nouvelle-Zélande est une monarchie constitutionnelle, la Reine Élizabeth II (Royaume-Uni) est la chef de l’État ;
La Nouvelle-Zélande est devenue indépendante du Royaume-Uni en 1853.
La principale religion de la Nouvelle-Zélande est le christianisme.
La Nouvelle-Zélande appartient à l’espace économique de l’Océanie de la civilisation occidentale.
L’économie néo-zélandaise.
La Nouvelle-Zélande a une économie très performante et orientée au marché, un environnement d’affaires stable et unes infrastructures de grande qualité ;
L’indice de liberté économique de la Nouvelle-Zélande (Heritage) est 82,3, est la quatrième plus libre économie au monde ;
La Nouvelle-Zélande se classe en deuxième lieu au monde en ce qui concerne à la facilité de faire des affaires, selon l’indice de la Banque mondiale (BM) ;
La Nouvelle-Zélande est membre de la Coopération économique pour l’Asie-Pacifique (APEC).
Le commerce international et les affaires en Nouvelle-Zélande :
L’un des secteurs qui est en train d’éprouver une rapide et forte croissance est l’agroalimentaire (nourritures et boissons).
Les exportations alimentaires et de boissons néo-zélandaises ont été de 22 millions de dollars de la Nouvelle-Zélande ;
Le secteur alimentaire néo-zélandais représente 10 % du produit intérieur brut néo-zélandais et représente plus de la moitié de toutes les exportations de produits de la Nouvelle-Zélande ;
Fonterra est l’un des principaux exportateurs mondiaux de produits lactés.
Sa chaine internationale de fourniture commence dans les fermes de la Nouvelle-Zélande en commercialisant ses produits dans plus de 140 pays.
Le commerce international néo-zélandais :
Les principaux partenaires de la Nouvelle-Zélande sont l’Australie, les États-Unis, le Japon, la Chine et le Royaume-Uni ;
Les marchés d’exportation avec des croissances plus importantes sont la Chine (43 %), Singapour (28 %), l’Égypte (25 %), les Émirats arabes unis (18 %) et l’Inde (16 %) ;
Le port d’Oakland
gère 30 % du total du commerce international de la Nouvelle-Zélande (représente presque 13 % du produit intérieur brut national.) ;
L’Europe est une importante partenaire commercial de la Nouvelle-Zélande, outre une importante source d’investissement direct étranger (IDE) ;
L’Amérique du Nord est l’un des partenaires commerciaux les plus importants de la Nouvelle-Zélande ;
L’Australie est le voisin le plus proche de la Nouvelle-Zélande. Le commerce avec l’Australie représente 23 % des exportations de la Nouvelle-Zélande et 18 % des importations de la Nouvelle-Zélande (NZ 7,4 milliards de dollars) ;
L’accord de libre-échange (ALE) entre la Nouvelle-Zélande et l’Australie (harmonisation des marchés et des systèmes financiers), fait de la Nouvelle-Zélande une destination très attractive pour les entreprises australiennes ;
Le Nord de l’Asie est l’un des plus grands marchés de la Nouvelle-Zélande pour les biens de consommation de première qualité et pour les produits de grande valeur ajoutée ;
La Chine, le Japon et la République de Corée sont les principaux partenaires régionaux ;
Le commerce international et les liens économiques avec l’Asie Sud
orientale sont très importantes. La région contient trois des principaux partenaires commerciaux (Singapour, la Malaisie, l’Indonésie) et il
représente environ 11 % des exportations de produits (NZ 4,7 milliards de dollars) et 16 % des importations.
(c) EENI Global Business School (École d’Affaires) 1995-2023
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