Les objectifs de l’UE « Commerce international et affaires au Burkina Faso » sont :
Apprendre à faire des affaires au Burkina Faso ;
Évaluer les opportunités d’affaires au Burkina Faso ;
Analyser les relations commerciales du Burkina Faso avec le pays de l’étudiant ;
Connaitre les accords commerciaux du Burkina Faso ;
Apprendre à élaborer un plan d’affaires pour le Burkina Faso.
L’UE « Commerce international et affaires au Burkina Faso » fait partie
des programmes FOAD Online proposés par l’EENI Global Business School
(École d’Affaires) :
La Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA) ;
Les Fonds arabes pour le développement.
Les organisations mondiales :
L’OIF ;
La BM ;
Les NU
Le Centre du commerce international (ITC) ;
La CNUCED ;
L’OMPI.
Le FMI.
Stratégiquement situé au cœur de la sous-région de l’Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso est un carrefour inéluctable au sein du marché commun de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) avec 70 millions d’habitants.
Le Burkina Faso appartient à l’espace économique d’Afrique de l’Ouest de la civilisation africaine.
Ouandaogo Abdoul Karim (Étudiant Master Université d’Ouagadougou et l’EENI) lauréat d’un concours régional de l’UEMOA.
Deux étudiants du Burkina (Clément Lonfo et Christelle Yameogo) en recevant le diplôme du Master en affaires internationales au siège de l’EENI
L’économie burkinabè.
Le Burkina Faso base sa stratégie de développement pour les années prochaines sur une perspective d’ouverture aux marchés régionaux et mondiaux ;
Le Burkina Faso s’est fixé un objectif précis : devenir un pôle du développement économique en Afrique de l’Ouest ;
Un programme d’ajustement structurel a permis de rétablir les grands équilibres macroéconomiques.
Le profil économique du Burkina Faso :
La monnaie burkinabè : le Franc CFA de l’Afrique de l’Ouest ;
L’agriculture : 90 % de la population du Burkina ;
La principale culture burkinabè : le coton ;
Les principales exportations burkinabès sont le coton et l’or (68 %) ;
Les principaux produits exportés par le Burkina Faso sont le coton, les noix, l’or, les bovins, les chèvres, les moutons, les graines de sésame, les fruits et les légumes ;
La croissance du PIB burkinabè : 7 % ;
Composition du PIB :
L’agriculture 35 % ;
L’industrie 23 % ;
Les services 42 %.
Les principaux secteurs burkinabès sont l’agriculture, le commerce et l’exploitation minière ;
L’inflation : 3 % ;
Le commerce régional avec d’autres pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de l’UEMOA est très faible, limité aux produits agricoles ;
Faire des affaires (la Banque mondiale) : 154 ;
Libéralisation positive de l’économie burkinabè ;
Le Burkina Faso est un pays ouvert aux investisseurs étrangers ;
Les foires burkinabès :
La Foire internationale de l’artisanat et des arts (SIAO) ;
Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision d’Ouagadougou.
Le taux de croissance de l’activité économique burkinabè a été de 7 %.
Cette accélération de la croissance économique est fondamentalement imputable au secteur primaire, concernant la reprise de la production de céréales et de la production de coton.
Le groupe Soyaf (Burkina Faso).
Créé en 1982 par M. Salif Yameogo, le groupe Soyaf
est l’une des plus importantes holdings au standard international en Afrique de l’Ouest.
Le groupe Soyaf a attiré au Burkina Faso plusieurs grandes multinationales.
Le ministre burkinabè du commerce international, de la promotion de l’entreprise exportatrice et de l’artisanat assure la mise en œuvre et le suivi de la politique du gouvernement en matière de promotion de l’entreprise exportatrice, du commerce international et de l’artisanat ;
Les importations burkinabès ont connu un taux de croissance de 14,9 %. Cette évolution est liée au dynamisme de l’activité économique et aux importations des biens d’équipement ;
Les exportations ont progressé de 25,7 % contre 7,4 %, concernant les exportations du secteur minier burkinabè ;
Le déficit du compte courant extérieur, hors dons, s’est amplifié en ressortant à 11,9 % du produit intérieur brut contre 11,4 % une année auparavant ;
Les importations totales ont connu en effet, une hausse de 9,5 % pour s’établir à 640,8 milliards, sous l’effet du regain
du dynamisme de l’activité économique intérieure et du renchérissement des cours mondiaux du pétrole et des produits d’exportation alimentaires ;
Les exportations burkinabès : 307,7 milliards en hausse de 3,1 % ;
Cette progression a découlé de l’accroissement des ventes extérieures d’or dont l’incidence a été atténuée par la chute de 27,1 % des exportations de coton.
L’Office national du commerce international. La mission principale de l’ONAC est de promouvoir le commerce international
au niveau mondial.
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