EENI École d'Affaires / Business School

Affaires au Burkina Faso, Ouaga


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Programme de l’unité d’enseignement (UE) : le commerce international et les affaires au Burkina Faso. L’économie burkinabè. Ouagadougou.

  1. L’introduction à la République du Burkina Faso Burkina Faso (Étudier, Master, Doctorat, Affaires, Commerce International) (Afrique de l’Ouest)
  2. Le docteur Joseph Ki-Zerbo ;
  3. L’économie burkinabè ;
  4. Le commerce international burkinabè ;
  5. Les opportunités d’affaires au Burkina Faso
    1. L’agriculture ;
    2. Les mines ;
    3. L’industrie ;
    4. Le tourisme ;
    5. Le secteur tertiaire ;
    6. L’immobilier ;
    7. Les infrastructures.
  6. Étude de cas :
    1. Le Salon international des arts et métiers (Ouagadougou) ;
    2. Société Burkinabè des Fibres Textiles (SOFITEX) ;
    3. Salon International de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO) ;
    4. Minata Kone.
  7. L’accès au marché burkinabè ;
  8. Le plan d’affaires pour le Burkina Faso.

Les objectifs de l’UE « Commerce international et affaires au Burkina Faso » sont :

  1. Apprendre à faire des affaires au Burkina Faso ;
  2. Évaluer les opportunités d’affaires au Burkina Faso ;
  3. Analyser les relations commerciales du Burkina Faso avec le pays de l’étudiant ;
  4. Connaitre les accords commerciaux du Burkina Faso ;
  5. Apprendre à élaborer un plan d’affaires pour le Burkina Faso.

Joseph Ki-Zerbo, historien burkinabè catholique. L'Afrique à enfanté l'histoire (Burkina Faso, Master)

Formation online (cours, master, doctorat) : affaires en Afrique de l’Ouest

Étudiant africaine (cours, master, doctorat) en affaires internationales

L’UE « Commerce international et affaires au Burkina Faso » fait partie des programmes FOAD Online proposés par l’EENI Global Business School (École d’Affaires) :

Diplôme (DU) : affaires en Afrique de l’Ouest.

Masters : affaires en Afrique, affaires internationales, commerce international.

Masters professionnels en commerce international et affaires - Formation online

Doctorat : affaires africains, affaires islamiques commerce mondial.

Doctorat professionnel en affaires internationales (DIB) - Formation online

  1. Crédits de l’UE « Commerce et affaires au Burkina Faso » : 1
    ECTS - CECT ECTS (Système européen de transfert et d’accumulation de crédits) - CECT = Crédit d’évaluation capitalisable et transférable (CAMES).
    ;
  2. Durée : une semaine.

Les documents d’étude en Cours Masters Doctorats, affaires internationales, commerce, en français (Afrique francophone, France) ou Doctorats masters cours, affaires et commerce international en anglais Burkina Faso Doctorats masters cours en portugais. Affaires et commerce international Burkina Faso Étudier en espagnol master, doctorat, course, commerce international et affaires (Afrique, France) Burkina Faso.

Masters et doctorat en affaires internationales adaptés pour les Burkina Faso (Étudier, Master, Doctorat, Affaires, Commerce International) étudiants burkinabès.

Nous croyons en l’Afrique / Enseignement supérieur à des prix abordables pour les africains (Mali, Niger, Burkina, Sénégal, Togo, Madagascar...)

Commerce international et affaires au Burkina Faso.

Le Burkina Faso : l’une des économies régionales qui a mis en œuvre plusieurs réformes.

Formation online (cours, master, doctorat) : Transport et logistique en Afrique

Le transport et la logistique au Burkina Faso :
  1. Les corridors africains :
    1. L’autoroute trans-sahélienne (Corridor Dakar-Burkina - N’Djaména) ;
    2. Accès au corridor Dakar-Lagos.
  2. Boucle ferroviaire Bénin-Niger-Burkina Faso-Côte d’Ivoire ;
  3. Les ports les plus proches :
    1. Le port de Tema (Ghana, environ 1 000 kilomètres) ;
    2. Le port d’Abidjan (Côte d’Ivoire) ;
    3. Le port de Lomé (Togo) - projet de chemin de fer ;
    4. Le port de Cotonou (Bénin) - Autoroute ;
    5. Le port de Dakar (Sénégal).

Formation online (cours, master, doctorat) : Intégration régionale en Afrique

Formation online (cours, master, doctorat) : Accès préférentiel / Accords commerciaux

L’accès préférentiel et les accords de libre-échange du Burkina Faso :

  1. Le Burkina Faso et l’espace économique d’Afrique de l’Ouest ;
  2. La Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ;
  3. L’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) ;
  4. La Communauté des États sahélo-sahariens (CEN-SAD) ;
  5. La zone de libre-échange continentale africaine (ZLEC) ;
  6. Les relations Burkina Faso-États-Unis
    1. Le Burkina Faso est bénéficiaire de la loi sur la croissance et les opportunités en Afrique (AGOA) ;
    2. Accord-cadre États-Unis - Union Économique et Monétaire Ouest Africaine.
  7. Les relations Burkina Faso-Union européenne
    1. L’accord de partenariat économique Union européenne-UEMOA (en négociation) ;
    2. L’accord de partenariat économique UE-CEDEAO (en négociation) ;
    3. Le Partenariat stratégique Afrique-UE (Cotonou) ;
    4. Le Système de préférences généralisées (SPG).
  8. L’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA)
    1. L’Acte uniforme relatif au droit du transport de marchandises par route (OHADA).
  9. L’Autorité du bassin du Niger (ABN) ;
  10. Le Système de préférences commerciales de l’OCI ;
  11. Le G5 Sahel ;
  12. Le Système global de préférences commerciales entre pays en développement (SGPC) - a demandé l'accès.

Communauté Économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) Bénin, Burkina Faso, Cap-Vert, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Libéria, Mali, Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone, Togo

Formation online (cours, master, doctorat) : Programmes de Facilitation des échanges (commerce international). Accord AFC

Formation online (cours, master, doctorat) : Institutions africaines (UA, AFDB, AUDA-NEPAD, UNECA)

Les organisations commerciales et économiques africaines :

  1. L’Agence de développement de l’Union Africaine (AUDA-NEPAD)
    1. Le Programme détaillé de développement de l’agriculture africaine (PDDAA).
  2. La Banque africaine de développement (BAD) ;
  3. La Commission économique pour l’Afrique (CEA) ;
  4. L’Union africaine (UA)
    1. La Convention sur la prévention et la lutte contre la corruption (Union africaine).
  5. Le Sommet Afrique-Amérique du Sud (ASA) (Burkina) ;
  6. Le Forum sur la coopération Chine-Burkina ;
  7. Le Forum Afrique-Inde (Burkina) ;
  8. Le Nouveau partenariat stratégique Asie-Afrique ;
  9. L’Afrique et les pays du BRICS ;
  10. Le Partenariat Turquie-Afrique ;
  11. Le Partenariat Japon-Afrique ;
  12. Le Partenariat Corée du Sud-Afrique.

Formation online (cours, master, doctorat) : Organisations islamiques

Les organisations islamiques :

  1. L’Organisation de la coopération islamique (OCI) ;
  2. La Banque islamique de développement (BID) ;
  3. La Coopération afro-arabe ;
  4. La Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA) ;
  5. Les Fonds arabes pour le développement.

Formation online (cours, master, doctorat) : Mondialisation et organisations

Les organisations mondiales :

  1. L’OIF ;
  2. La BM ;
  3. Les NU
    1. Le Centre du commerce international (ITC) ;
    2. La CNUCED ;
    3. L’OMPI.
  4. Le FMI.

Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) : le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo

Stratégiquement situé au cœur de la sous-région de l’Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso est un carrefour inéluctable au sein du marché commun de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) avec 70 millions d’habitants.

  1. Les frontières burkinabè : le Mali, le Niger, le Bénin, le Togo, le Ghana et la Côte d’Ivoire ;
  2. La superficie du Burkina Faso est de 274 200 kilomètres carrés avec une population de 20 millions d’habitants ;
  3. Le Burkina est un pays enclavé de l’Afrique de l’Ouest ;
  4. L’indépendance burkinabè : 1960 (France) ;
  5. Le Burkina est l’un des pays les plus pauvres ;
  6. La capitale du Burkina Faso : Ouagadougou (1,5 millions) ;
  7. Bobo-Dioulasso, Banfora, Dédougou, Tenkodogo, Koudougou, Kaya, Fada N’Gourma, Ouahigouya, Manga, Dori, Gaoua.
  8. La langue officielle burkinabè : le Français ;
  9. Les langues locales : le Moore, le Fulfulde, le Dioula ;
  10. Le Burkina Faso : le pays des hommes intègres.

Plus d’informations sur le Burkina Faso au Portail affaires africains de l’EENI.

Les religions au Burkina :

  1. L’islam (65 % de la population, 9 millions) ;
  2. Le christianisme (catholicisme) ;
  3. Les religions traditionnelles africaines.

Le Burkina Faso appartient à l’espace économique d’Afrique de l’Ouest de la civilisation africaine.

Formation online : Islam et affaires (Cours Master Doctorat)

Formation online : Christianisme et affaires (catholicisme, protestantisme)

Abdoul Karim Ouandaogo (étudiant EENI)
Ouandaogo Abdoul Karim (Étudiant Master Université d’Ouagadougou et l’EENI) lauréat d’un concours régional de l’UEMOA.

Deux étudiants du Burkina (Clément Lonfo et Christelle Yameogo) en recevant le diplôme du Master en affaires internationales au siège de l’EENI
Étudiants Master Doctorat Affaires commerce international Afrique

L’économie burkinabè.

  1. Le Burkina Faso base sa stratégie de développement pour les années prochaines sur une perspective d’ouverture aux marchés régionaux et mondiaux  ;
  2. Le Burkina Faso s’est fixé un objectif précis : devenir un pôle du développement économique en Afrique de l’Ouest ;
  3. Un programme d’ajustement structurel a permis de rétablir les grands équilibres macroéconomiques.

Le profil économique du Burkina Faso :

  1. La monnaie burkinabè : le Franc CFA de l’Afrique de l’Ouest ;
  2. L’agriculture : 90 % de la population du Burkina ;
  3. La principale culture burkinabè : le coton ;
  4. Les principales exportations burkinabès sont le coton et l’or (68 %) ;
  5. Les principaux produits exportés par le Burkina Faso sont le coton, les noix, l’or, les bovins, les chèvres, les moutons, les graines de sésame, les fruits et les légumes ;
  6. La croissance du PIB burkinabè : 7 % ;
  7. Composition du PIB :
    1. L’agriculture 35 % ;
    2. L’industrie 23 % ;
    3. Les services 42 %.
  8. Les principaux secteurs burkinabès sont l’agriculture, le commerce et l’exploitation minière ;
  9. L’inflation : 3 % ;
  10. Le commerce régional avec d’autres pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et de l’UEMOA est très faible, limité aux produits agricoles ;
  11. Faire des affaires (la Banque mondiale) : 154 ;
  12. Libéralisation positive de l’économie burkinabè ;
  13. Le Burkina Faso est un pays ouvert aux investisseurs étrangers ;
  14. Les foires burkinabès :
    1. La Foire internationale de l’artisanat et des arts (SIAO) ;
    2. Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision d’Ouagadougou.
  15. Le taux de croissance de l’activité économique burkinabè a été de 7 %.

Cette accélération de la croissance économique est fondamentalement imputable au secteur primaire, concernant la reprise de la production de céréales et de la production de coton.

Le groupe Soyaf (Burkina Faso). Créé en 1982 par M. Salif Yameogo, le groupe Soyaf est l’une des plus importantes holdings au standard international en Afrique de l’Ouest. Le groupe Soyaf a attiré au Burkina Faso plusieurs grandes multinationales.

Master PRO en commerce international Université Ouaga II - EENI
Master FOAD en commerce international Burkina

Formation online (cours, master, doctorat) : Commerce international

Le commerce international burkinabès.

  1. Le ministre burkinabè du commerce international, de la promotion de l’entreprise exportatrice et de l’artisanat assure la mise en œuvre et le suivi de la politique du gouvernement en matière de promotion de l’entreprise exportatrice, du commerce international et de l’artisanat ;
  2. Les importations burkinabès ont connu un taux de croissance de 14,9 %. Cette évolution est liée au dynamisme de l’activité économique et aux importations des biens d’équipement ;
  3. Les exportations ont progressé de 25,7 % contre 7,4 %, concernant les exportations du secteur minier burkinabè ;
  4. Le déficit du compte courant extérieur, hors dons, s’est amplifié en ressortant à 11,9 % du produit intérieur brut contre 11,4 % une année auparavant ;
  5. Les importations totales ont connu en effet, une hausse de 9,5 % pour s’établir à 640,8 milliards, sous l’effet du regain du dynamisme de l’activité économique intérieure et du renchérissement des cours mondiaux du pétrole et des produits d’exportation alimentaires ;
  6. Les exportations burkinabès : 307,7 milliards en hausse de 3,1 % ;
  7. Cette progression a découlé de l’accroissement des ventes extérieures d’or dont l’incidence a été atténuée par la chute de 27,1 % des exportations de coton.

L’Office national du commerce international. La mission principale de l’ONAC est de promouvoir le commerce international au niveau mondial.



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