Programme de l’unité d’enseignement (UE) : le Corridor de croissance Asie-Afrique.
L’introduction au Corridor de croissance Asie-Afrique ;
Le corridor de croissance Asie-Afrique comme alternative de l’Inde et du Japon à la nouvelle route de la soie dirigée par la Chine ;
Le Corridor de croissance Asie-Afrique : un projet clé de l’Association
du bassin de l’océan Indien (IORA) ;
Les principales caractéristique du Corridor de croissance Asie-Afrique ;
Les pays membres asiatiques : le Bangladesh, l’Inde, l’Iran, le Japon, les Maldives,
la Mongolie, le Myanmar, Singapour, le Sri Lanka et la Thaïlande ;
Les pays membres africains : le Kenya, Madagascar, l’Île Maurice, les Seychelles, la Tanzanie, la Zambie, le Zimbabwe.
Adaptation des masters et du doctorat en affaires internationales proposés par l’EENI pour les étudiants francophones de l’Afrique de l’Est :
Djibouti,
les Comores,
Madagascar,
L’Île Maurice
et les Seychelles.
Le Corridor de
croissance Asie-Afrique.
Le Corridor de croissance Asie-Afrique est un accord de
coopération économique entre 10 pays asiatiques et 7 pays africains, lancé
en 2017 par les gouvernements de l’Inde et du Japon.
Les pays membres asiatiques (10) : le Bangladesh, l’Inde, l’Iran, le Japon, les Maldives, la Mongolie, le Myanmar, Singapour, le Sri Lanka et la Thaïlande ;
Le Corridor de croissance Asie-Afrique est l’alternative de l’Inde et
le Japon a la nouvelle
Route de la soie
chinoise (une ceinture, une route).
Son objectif principal est la création d’un espace économique
afro-indo-asiatique à travers :
Des projets de développement et de coopération ;
Des infrastructures de qualité (transports, corridors) et connectivité
institutionnelle ;
L’amélioration des compétences et des capacités ;
Les associations de personne à personne.
Le Corridor de croissance Asie-Afrique facilitera et améliorera la
croissance économique en reliant les économies d’Asie et d’Afrique en
facilitant le commerce, le développement et l’amélioration des ports,
aéroports, corridors, parcs industriels, télécommunications.
Le Marché commun de l’Afrique australe et orientale (COMESA) : le Burundi,
les Comores, la République démocratique du Congo, l’Egypte, l’Érythrée,
l’Ethiopie,
le Kenya, la Libye, Madagascar, le Malawi, l’Île Maurice,
le Rwanda,
les Seychelles, le Soudan, l’Eswatini (Swaziland), la Tanzanie,
l’Ouganda, Djibouti,
la
Zambie et le Zimbabwe ;
La Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) : Angola, le
Botswana,
les Comores, la République démocratique du Congo, le Lesotho, le Malawi, Madagascar, l’Île Maurice, Mozambique, la Namibie, les Seychelles,
l’Afrique du sud, l’Eswatini (Swaziland), la Tanzanie, la Zambie et le Zimbabwe ;
L’Initiative du bassin du Nil : le Burundi, la République
démocratique
du Congo, l’Egypte, l’Ethiopie, le Kenya, le Rwanda, le Soudan du Sur,
le Soudan,
la Tanzanie et l’Ouganda ;
La Conférence internationale sur la région des Grands Lacs :
Angola, le Burundi, la République centrafricaine, la République du Congo, la
République démocratique du Congo, le Kenya, le Rwanda, le Soudan du Sur,
le Soudan, la Tanzanie, l’Ouganda et la Zambie ;
La Commission de l’Océan Indien
: les Comores, les Iles de la Réunion, Madagascar, l’le Maurice et les Seychelles.
Les relations des Pays africains du corridor avec les États-Unis.
Presque tous les pays africains du corridor ont des accords
commerciaux avec l’Inde ;
L’Île Maurice : l’Inde,
l’Turquie, l’Association européenne de libre-échange (AELE) et le
Pakistan ;
L’Inde a conclu un accord commercial avec l’Union
douanière d’Afrique australe (Afrique du Sud, Lesotho, Eswatini (Swaziland),
Botswana et Namibie). Bien qu’aucun de ces pays ne soit membre du corridor).
Principales institutions africaines.
La Banque africaine de développement (BAD) ;
La Commission économique pour l’Afrique (CEA) ;
L’Agence de développement de l’Union Africaine (AUDA-NEPAD) ;